Boustrophédon, apophtegme & antanaclase
Il y a 2 jours
« The road of excess leads to the palace of wisdom »
« L'essentiel est toujours menacé par l'insignifiant »
René Char
William Blake
Alexandre Marius Jacob
Arcane 17, une myriade de documents surréalistes
archyves.net
Atelier de création libertaire
Barthélémy Schwartz
Basse Intensité, des nouvelles de l'anti-monde
Bibliothèque libertaire
Le blog d'un odieux connard
Chéri-Bibi
Claude Guillon
CLS Typo-Fornax
Dominique Autié
Donald Westlake
Fornax
Glen Baxter
groupe id0
In girum imus nocte…
Jacques Rigaut, l'Excentré magnifique
Journal d'un traducteur
Julie Graf
La pompe à phynance (Frédéric Lordon)
La vie manifeste
Le copain de Doisneau
Les excentriques
Le silence qui parle
Les inventeurs d'incroyances (liste de liens)
Les ruines circulaires
Lewis Trondheim
Métafictions
Noir bazar
Orthotypographie (mais on préférera la version proposée sur La Part de l'ange)
Robert Denoël : histoire d'un éditeur)
Roland Brasseur
Serge Gainsbourg en détail
SILO, le blogue de Lucien Suel
Tal Zana (et talino.org)
The International Dada Archive
Ubuweb
Witold Gombrowicz
Zones subversives - Chroniques critiques
Au risque de vous déplaire, George, j'ai pas aimé. Pas le propos, la musique
RépondreSupprimerSachez qu'à moi non plus : on se croirait revenu au début des années 80 (plutôt Lili Drop que Marquis de Sade), alors qu'à cette époque les autonomes inquiétaient un poil plus sérieusement queques autorités. Et ces horreurs d'effets spéciaux, beuârk ! Mais les paroles sont fraîches au possible, surtout quand on sait que les plus vieux de ces "auteurs-compositeurs" ne sont même pas majeurs (au sens giscardien du terme).
RépondreSupprimerEnfin, je dis ça, et en même temps j'ai du mal à m'extraire des oreilles leur monotone ritournelle timidement scandée.
George
RépondreSupprimerJe sais pas où on se croit revenu. Des musiques des années 30 me plaisent. Et la musique des années antérieures encore me plaisent encore plus
On peut scander sans déplaire. Et, je ne vois aucune timidité, là-dedans. En fait, j'y vois rien