Ma vie dans une starteup — II : La traque du logopède
Il y a 1 jour
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Alors là, bravo ! Et merci.
RépondreSupprimerBah ! De rien, Blezel : c'est plutôt moi qui vous remercie d'avoir (chal)heureusement insisté.
RépondreSupprimerAutant certains passages de la brochure de 1977 ont évidemment vieilli, autant le prologue de 2017 demeure hélas d'une pertinente actualité.
Cher George WF Weaver,
RépondreSupprimerUn an et un jour plus tard...
Le texte a certes vieilli mais il reste assez beau, avec cette mélancolie ; c'est sans doute un peu grâce aux nombreux détournements...Difficile de tous les identifier d'ailleurs. On peut plutôt s'amuser à essayer de reconnaître les portraits qui émaillent le texte. Personnellement je n'ai reconnu que Ken Knabb, page 22, au milieu des livres et à côté d'une note sybiline... Et puis ce texte, cette mélancolie justement, résonne aussi par rapport à notre situation présente... C'est peut dire que la radicalité (je pense à celle marquée par l'I.S.) a disparu, et qu'un militantisme hystériquement glauque prend aujourd'hui toute la place.
C'est pour ça que le récit de l'action du 1er mai 1977 est toujours aussi réjouissant, on pourrait aujourd'hui la reproduire à l'identique pendant la Marche des fiertés, par exemple. Les néojournalistes de "Lundimatin" apprécieraient.
Ce que je trouve dommage en revanche et même un peu gênant, c'est que Jean-Pierre Voyer, qui est l'auteur du tract revendiquant l'action du 1er mai 1977 et dont l'influence se ressent aussi sur le texte de la brochure, soit totalement passé sous silence. Vous me direz que Lambert ne cite nommément personne, mais tout de même...Je sais bien que Voyer est un pestiféré dans le petit milieu et qu'il a tout fait pour... mais c'est justement ce qui donne un aspect "cancelisation" à ce silence. C'est d'ailleurs franchement contradictoire avec la fidélité en amitié mise en avant par cette préface.
Je suis loin d'être voyériste, les lettres qu'il a envoyé à Floriana Lebovici après l'assassinat de son mari sont ignobles, mais Voyer ne mérite pas cette omerta. Dans l'ambiance où nous sommes, certaines de ses pages sont revigorantes en plus d'être drôles.
Je serais curieux d'avoir l'avis de Gérard Lambert - et le vôtre, et celui de ceux qui passent par ici - sur tout cela.
Bon dimanche, en tout cas !