Bref, de nos jours, mieux vaut
ouvrir une bouteille qu'une boutique !
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Assez de documents bidonnés :
RépondreSupprimersoit, la photo n'est qu'un faux grossier avec sosies, soit elle n'est pas d'époque.
Sinon, où est donc passée la touffe sub-nasale du libraire ?
Je Profite de l'occase pour lui avouer que ses charmeuses m'ont toujours évoqué le Tour de France (le guidon, sans doute).
Ah oui, Jean, guide honni !…
RépondreSupprimerLa photo date de 2012, la mousse tachait pas à l'époque.
Et le gaillard à lunettes de pédé, c'est Stéphane, le fondateur de la boutique.
Le nostalgique de Dalida n'a pas perdu l'amitié d'Hervé Vilard. C'est bien, nous disions-nous à l'instant, Amanda et moi.
RépondreSupprimerNous n'y connaissons rien question boutiques, mais sommes occupés à ouvrir quelques bouteilles à la santé de Georgie-les-belles-bacchantes.
Haut les coeurs, mort aux cons et toutes ces sortes de choses, dear boy.
À votre santé, M'sieu Pop, tandis qu'on m'amende à lire (pfff !…)
RépondreSupprimerLe libraire, Amazon et entropie (hélas)
RépondreSupprimer"... Il suffit d’ouvrir un flacon de parfum pour que l’énergie et l’odeur qu’elle contient se répandent dans toute une pièce. Il est intéressant de noter ce qui se passe alors à l’échelle moléculaire : à l’intérieur du flacon les molécules se heurtent les unes aux autres à rythme effréné : hors du flacon, elles s’entrechoquent mollement jusqu’à ce qu’elles se répartissent également dans leur nouvel espace..."
Je ne suis pas content.
RépondreSupprimerMoi non plus, Jérôme.
RépondreSupprimerMais, en détournant légèrement Crébillon fils (et Poe, naturellement !) :
Un destin si funeste,
S’il n’est digne d’Atrée, est digne de Thyeste…
Et Catherine, merci pour cette citation sortie je ne sais d'où.
Le nom de cette librairie n'était en effet pas du meilleur augure (cf. la théorie de Shannon et Weaver)…
Euh… Crébillon père, pardon !
RépondreSupprimerTombée par hasard sur cette page de définition de l'entropie sur :
RépondreSupprimerhttp://agora.qc.ca/dossiers/Entropie
(au 8ème paragraphe)
et j'ai bien aimé l'analogie possible avec les lecteurs-clients-habitués qui se heurtaient dans l'espace réduit des petites librairies, et qui maintenant sont affadis et perdus dans les grands couloirs et rayonnages impersonnels d'Amazon.
Bien à vous, et vraiment dommage pour cette librairie