Pour commencer, remémorons-nous l'une des dernières séquences du monde d'avant, pas la moins ridicule…
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mercredi 7 janvier 2009
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Pourquoi zone dans les libellés ?
RépondreSupprimer(Re)lisez-donc le poème éponyme d'Apollinaire, qui ouvre Alcools.
RépondreSupprimerAu temps pour moi, n'avais pas fait le rapprochement.
RépondreSupprimerLe rat proche ment, vous êtes tout thé-xcusée.
RépondreSupprimerJ'ai eu une controverse assez vive l'an passé avec plusieurs correcteurs et amis sur la graphie de cette expression, [otanpourmoi], qui s'est soldée par le décès de celui qui avait raison, un sacré lascar affublé du sobriquet "Somp" (pour "somptueux", ai-je appris après son fatal arrêt cardiaque en pleine répétition chorale), et qui vous l'aurait donnée, cette raison.
Au fait, thé, vu votre proximité avec bira (chez CSP, Les Moissonneuses ou Histoire mon amour), je vous remercie pour votre discrétion, car ce machin n'est qu'un prototype pour comprendre comment fonctionne Big Blogger, pas sûr que ça dure.
Je préfère la graphie que j'ai employée, mais je n'irai pas mourir pour elle.
RépondreSupprimerLa proximité est un délit.
coin coin
RépondreSupprimernon, non, je ne suis pas un canard giscardien
RépondreSupprimerLe rapprochement n'est pas loin de la proximité, thé.
RépondreSupprimerJe dépose un commentaire ici, cher George, pour vous dire que j'ai profité des quelques jours où vous étiez loin de votre écran pour faire une relecture cursive d'une bonne partie de ce blogue. J'y ai pris infiniment de plaisir, comme à le suivre tout au long de cette année 2009. Sans doute n'ai-je pas toujours réagi là où vous m'auriez attendu: il faut m'en excuser, je ne laisse de commentaire que quand j'ai le sentiment (l'illusion?) d'avoir quelque chose à dire; en outre, le démon de la procrastination me tient sous son empire...
RépondreSupprimer… j'ai oublié de préciser que j'étais bien l'Anonyme historique de ce blogue, mais enfin vous l'auriez parié, sans doute.
RépondreSupprimerAnonyme que j'avais parié, vous me faites rougir : je ne m'attendais pas à autant d'intérêt de la part de quiconque pour mes petites élucubrations.
RépondreSupprimerMerci, du fond du cœur. Et vous êtes bien entendu tout excusé : je partage d'ailleurs avec vous cet impératif du sentiment de nécessité (sauf pour mes abominables calembours, évidemment) et cette emprise de la procrastination.