MON DERNIER EST LA DERNIÈRE,
MON TOUT EST LA TOTALITÉ.
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Zones subversives - Chroniques critiques
est-ce que ce serait pas hermaphrodite endormi ?
RépondreSupprimerNon, pas plus que Booz, quoique Hugo ne soit pourtant pas loin. Et je ne vois pas le rapport avec la statuaire. Si c'est une pique relative à certaine déshérence ici-même, sachez que je suis ces jours-ci débordé par ailleurs.
RépondreSupprimerComme je bois, Levinas, peut-etre
RépondreSupprimerTrès joli. Encore que j'espère plutôt finir dans un lac de Château-Margaux, pour ma part. Et du coup, la deuxième partie du titre Totalité et infini donnerait une deuxième solution, n'eussent été ces féminins…
RépondreSupprimerNon, regardez la photo : c'est une piste.
Chronique d'une mort annoncée
RépondreSupprimerVous m'inquié-thé : ça va ? Quel rapport avec Garcia Marquez ?? Je nage autant dans la choucroute que durant mes investigations à propos de ce mystérieux "Epaulard" dont cause Bastien chez l'ex-colonel.
RépondreSupprimerVous m'avez dit de regarder la photo. Je croyais que c'était dans la galaxie UGC4904
RépondreSupprimerFaut faire une relation avec les orques aussi ?
Mais qui pose des charades de nos jours ?
RépondreSupprimerC'est vrai : tout ceci relève du monde d'avant, bientôt annihilé par les antennes exploratrices de Gougueule, entre autres. Je vous recommande la lecture salvatrice de L'art de la charade à tiroirs, du regretté Luc Etienne : ça, ça vous envoie dans des galaxies encore plus lointaines, presque inaccessibles aux simples mortels.
RépondreSupprimerQuant à cette histoire bastiennienne d'épaulard, j'y pige que pouic.
pourquoi pas ?
RépondreSupprimer"salvatrice" ?
RépondreSupprimerC'est parce que vous affichez une supernova que vous me croyez perdue ?
"Cosmonautes", c'était le terme employé par les soviétiques pour bien les différencier des astronautes américains et des spationautes européens. Mais Orwell avait dès 1948 expliqué que "qui maîtrise le langage maîtrise la société".
RépondreSupprimer"Charade" n'est pas un mot-valise pour "parade de chars", russes ou non.
On en parlera plus tard : je dois m'éclipser (comme certains astres).
"Salvatrice", au sens vulgaire (au bon sens de ce mot-là) : non pas qui prodigue le salut, mais qui permet de basculer dans un univers décapsulant (capsules spatiales, bien entendu).
RépondreSupprimerRien compris à la charade.
RépondreSupprimerPour Epaulard, voir ICI.
Merci, Nicolas : ça fait du bien, de voir qu'il n'y a pas que les livres, qui soient des êtres sur lesquels on peut compter.
RépondreSupprimerc'est pas trop ma tasse de thé ( les charades)
RépondreSupprimertasse de thé
RépondreSupprimerou
RépondreSupprimerconstellation de lectures ?
"Première-Née - temps de l'oriole,
Première-Née - le mil en fleurs,
Et tant de flûtes aux cuisines...
Mais le chagrin au coeur des Grands
Qui n'ont que filles à leur arc.
S'assembleront les gens de guerre,
Et tant de sciences aux terrasses...
Première-Née, chagrin du peuple,
Les dieux murmurent aux citernes,
Se taisent les femmes aux cuisines.
Gênait les prêtres et leurs filles,
Gênait les gens de chancellerie
Et les calculs de l'astronome:
"Dérangerez-vous l'ordre et le rang?"
Telle est l'erreur à corriger.
Du lait de Reine tôt sevrée,
Au lait d'euphorbe tot vouée,
Ne ferez plus la moue des Grands
Sur le miel et sur le mil,
Sur la sébile des vivants...
L'ânier pleurait sous les lambris,
Oriole en main, cigale en l'autre:
"Mes jolies cages, mes jolies cages,
Et l'eau de neige de mes outres,
Ah! pour qui donc, fille des Grands?"
Fut embaumée, fut lavée d'or,
Mise au tombeau dans les pierres noires:
En lieu d'agaves, de beau temps,
Avec ses cages à grillons
Et le soleil d'ennui des Rois.
S'en fut l'ânier, s'en vint le Roi!
"Qu'on peigne la chambre d'un ton vif
Et la fleur mâle au front des Reines..."
J'ai fait ce rêve, dit l'oriole,
D'un cent de reines en bas âge.
Pleurez, l'ânier, chantez l'oriole,
Les filles closes dans les jarres
Comme cigales dans le miel,
Les flûtes mortes aux cuisines
Et tant de sciences aux terrasses.
N'avait qu'un songe et qu'un chevreau
- Fille et chevreau de même lait -
N'avait l'amour que d'une Vieille.
Ses caleçons d'or furent au Clergé,
Ses guimpes blanches à la Vieille...
Très vieille femme de balcon
Sur sa berceuse de rotin,
Et qui mourra de grand beau temps
Dans le faubourg d'argile verte...
"Chantez, ô Rois, les fils à naître!"
Aux salles blanches comme semoule
Le Scribe range ses pains de terre.
L'ordre reprend dans les grands Livres.
Pour l'oriole et le chevreau,
Voyez le Maître des cuisines."
c'est fin , c'est très fin, ça se mange sans( fin)
RépondreSupprimerou
RépondreSupprimer" Tu peux sonder la nuit qui nous entoure.
Tu peux foncer sur cette nuit... Tu n'en sortiras pas.
Adam et Ève, qu'il a dû être atroce, votre premier baiser,
puisque vous nous avez créés désespérés ! "
ou
RépondreSupprimer"Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin."
ou
RépondreSupprimer« Nous ne sommes parfaitement ni avec Dieu ni sans Dieu »
Khayyam
dernière tentative :
RépondreSupprimerinsurrection
Je vois qu'on s'amuse bien, ici. Saint-John Perse, Apocalypse, Khayyam… manque plus que le Qohélet ! Mais je ne comprends pas votre ultime essai.
RépondreSupprimerultime :
RépondreSupprimervotre nom
La dernière, c'était toujours par rapport à la photo, c'est une étoile qui explose ; du big bang jusqu'à la dernière explosion, de la création à la destruction