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samedi 24 janvier 2009

L'émoi sonne…

atomic_bomb_castle_bravo(us test)1954 Pictures, Images and Photos

… mais tout sonne à son heure.
Dire qu'il suffit d'une pression du doigt sur une touche retour…
ENTER, AND END.
Allez, on n'y reviendra plus.

21 commentaires:

  1. Peut-être, mais ce n'est pas parce qu'on l'assène que c'est cool.

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  2. On retourne direct en Autriche : Vienne, l'ennui.
    Comme dans Le troisième homme.

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  3. Cette photo m'évoque la pochette d'un excellent album : "Atomic Mr Basie", mais c'est surement une coïncidence.

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  4. Oui, c'est bien la même, mais je ne connaissais pas cet album de Count : trouvée sur Photobucket.
    Coup de théâtre : Jenny m'apprend par ailleurs que ce n'est pas elle qui a appuyé sur la touche fatidique. Elle n'était même pas au courant de cette implosion. Le mystère s'épaissit…
    Et Jean-Pierre Deloux, ce fou de polars, a cassé sa pipe, annonce-t-elle aussi.
    Thé, merci pour Mouloudji, faut-t-il qu'il m'en souvienne ! Mais c'est maintenant plutôt celle-ci que m'évoque la suppression des Moiss'.

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  5. Cette histoire de blog disparu devient donc un whodunnit, ce qui est plutôt paradoxal pour des amateurs de roman noir.

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  6. ps :
    George, pour vous éviter trop d'émoi, en toutes circonstances
    remplissez peut-être aussi des petits carnets
    comme les poilus
    bonne journée à vous

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  7. Exact, un whodunnit, qui n'a hélas rien d'un MacGuffin ! Mais je ne vois là aucun paradoxe, bien au contraire. Et puis bon, faut quand même pas être grand clerc pour y voir clair : «When you have eliminated all which is impossible, then whatever remains, however improbable, must be the truth», disait Sherlock Holmes…
    Bira, qui écrit encore à la main, de nos jours ? On ignorera bientôt jusqu'au sens des mots calligraphie, autographe, manuscrit, scripteur et scribe.

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  8. mais non, mais non
    on peut encore écrire à la main assis
    et jouer du clavier debout
    c'est toute la différence entre progrès et évolution

    je suis évoluée
    yeah

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  9. C'est moi qui ai appuyé sur la touche fatale.
    Et pour le coup, dans cette histoire de sabordage, moi, je n'ai pas seulement perdu des photos de vacances. Comme quoi, il y avait bien dissymétrie.
    Sinon, le premier post de "feu sur le quartier général", certes uniquement par des citations, tentait de faire comprendre, sans avoir à mettre les points sur les i ce qui se passait. Ce n'est pas ceux qui pleurent le plus fort qui sont forcément les plus malheureux. Ceci sera mon unique et dernier commentaire sur la belle et tragique histoire des Moissonneuses.

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  10. Dont acte (too late to say "Don't act !"). Mille sabords, Char a décidément raison : l'essentiel est toujours menacé par l'insignifiant !
    J'avais bien saisi l'adéquate pertinence des citations de Debord et Mao, mais pour celles de Rimbaud et Trenet, je persiste dans la perplexité.

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  11. Pour Veillées , peut-être, les vers précédents, George.

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  12. La première, "veille" ?
    La dernière, "et" ?
    Je dois être complètement bouché !

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  13. Ah, colonel (pardon, l'habitude preste…), une dernière chose : il me semble que lorsque la généralissime languit de ses "photos", c'est par pudeur toute euphémique.

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  14. "Veillées



    I

    C'est le repos éclairé, ni fièvre ni langueur, sur le lit ou sur le pré.
    C'est l'ami ni ardent ni faible. L'ami.
    C'est l'aimée ni tourmentante ni tourmentée. L'aimée.
    L'air et le monde point cherchés. La vie.
    - Était-ce donc ceci ?
    - Et le rêve fraîchit."

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  15. Je remercie d'avance mon ex-coblogueur, s'il me lit, d'éviter de se répandre en remarques désobligeantes du genre de celle sur les "photos de vacances". Tellement "de mon temps", n'est-ce pas?
    A ce propos, les citations du premier post de Feu sur le quartier général, je ne les comprends hélas que trop bien...

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  16. Moi, pas toutes, mais peu importe : la pudeur s'impose en certaines circonstances, même quand y a pus d'heurts, genre quand tout a disparu.
    La susceptibilité est toujours dommageable.
    Mais bon, parfois, les boules s'imposent.

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  17. Pudeur? Vous m'ôtez les mots de la bouche, mon cher George.

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  18. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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