(Désolé pour la compression anamorphique)
« Deinde quid idea vera clarius et certius dari potest quod norma sit veritatis ? Sane sicut lux seipsam et tenebras manifestat, sic veritas norma sui et falsi est. »
« D’autre part, que peut-il y avoir de plus clair et de plus certain que l’idée vraie, qui soit norme de vérité ? Certes, comme la lumière se fait connaître elle-même et fait connaître les ténèbres, la vérité est norme d’elle-même et du faux. »
Spinoza, Éthique, II, prop. 43, sc.
« … eben so ist das Falsche nicht mehr als Falsches ein Moment der Wahrheit. »
« C’est ainsi que ce n’est plus en tant que faux que le faux est un moment du vrai. »
Hegel, Préface de la Phénoménologie de l’Esprit, Troisième Partie, section « En quel sens la phénoménologie de l’esprit est négative, ou inclut le faux ».
« Sous chaque résultat et sous chaque projet d’un présent malheureux et ridicule, on voit s’inscrire le Mané, Thécel, Pharès qui annonce la chute immanquable de toutes les cités d’illusion. Les jours de cette société sont comptés ; ses raisons et ses mérites ont été pesés, et trouvés légers ; ses habitants se sont divisés en deux partis, dont l’un veut qu’elle périsse. »
Guy Debord, Préface à la quatrième édition italienne de « La société du spectacle ».
« Par ailleurs, quelle que soit l’époque, rien d’important ne s’est communiqué en ménageant un public, fût-il composé des contemporains de Périclès. Et, dans le miroir glacé de l’écran, les spectateurs ne voient présentement rien qui évoque les citoyens respectables d’une démocratie. »
G. D., In girum imus nocte et consumimur igni.
« D’autre part, que peut-il y avoir de plus clair et de plus certain que l’idée vraie, qui soit norme de vérité ? Certes, comme la lumière se fait connaître elle-même et fait connaître les ténèbres, la vérité est norme d’elle-même et du faux. »
Spinoza, Éthique, II, prop. 43, sc.
« … eben so ist das Falsche nicht mehr als Falsches ein Moment der Wahrheit. »
« C’est ainsi que ce n’est plus en tant que faux que le faux est un moment du vrai. »
Hegel, Préface de la Phénoménologie de l’Esprit, Troisième Partie, section « En quel sens la phénoménologie de l’esprit est négative, ou inclut le faux ».
« Sous chaque résultat et sous chaque projet d’un présent malheureux et ridicule, on voit s’inscrire le Mané, Thécel, Pharès qui annonce la chute immanquable de toutes les cités d’illusion. Les jours de cette société sont comptés ; ses raisons et ses mérites ont été pesés, et trouvés légers ; ses habitants se sont divisés en deux partis, dont l’un veut qu’elle périsse. »
Guy Debord, Préface à la quatrième édition italienne de « La société du spectacle ».
« Par ailleurs, quelle que soit l’époque, rien d’important ne s’est communiqué en ménageant un public, fût-il composé des contemporains de Périclès. Et, dans le miroir glacé de l’écran, les spectateurs ne voient présentement rien qui évoque les citoyens respectables d’une démocratie. »
G. D., In girum imus nocte et consumimur igni.
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