« L'expression de ses traits, abominable au-delà de toute description, rappelait à la fois la mort, la bestialité et la malignité*. »
The expression on its features was repellent in the extreme, savouring at once of death, bestiality, and malevolence.
The expression on its features was repellent in the extreme, savouring at once of death, bestiality, and malevolence.
H. P. Lovecraft, « Le molosse » (The Hound) in Je suis d'ailleurs (The Outsider), Denoël, coll. « Présence du Futur », 1961, p. 68
Qui saura retrouver le terme choisi par le premier traducteur ?
Hem…
D'accord, c'est vraiment de la daube, mais justement, à ce propos,
« Quand elle s'en va chez le boucher »
c'est d'un romantisme follement échevelé, non ?
C'est le "mauvouloir", cher George. Pourquoi ce néologisme, à moins qu'il ne s'agisse d'un archaïsme, alors qu'il existe "maveillance" ? Peut-être le mot anglais malevolence a-t-il aussi une connotation ancienne...
RépondreSupprimerGrand merci, Wrob, car on s'y est cassé la tête pendant deux bonnes heures hier avec Jacques !
RépondreSupprimerOn penchait pour "malvouloir" mais la jambe du L manquait…
Le mot n'est pas attesté dans le TLF mais on trouve "malvouloir" dans le Dictionnaire du Moyen Français.
RépondreSupprimerLe Dictionnaire de l'ancien français de Greimas donne "malvoloir"...
RépondreSupprimerMerci de votre constante assiduité tout à l'encontre du mauvouloir, cher Tenancier…
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