Lorsque, parvenu à l'âge de onze ans, je me mis à inspecter sérieusement la bibliothèque de mes parents, seuls deux livres me parurent dignes d'intérêt (et l'expérience aidant, je sais aujourd'hui que c'était effectivement les seuls, ou peu s'en faut) : L'attrape-cœurs, de J. D. Salinger (R. Laffont, coll. « Pavillons »), et Les onze mille verges, de Guillaume Apollinaire (Régine Deforges), qui se présentait par la tranche, sur l'étagère la plus haute.
Leur lecture me marqua durablement.
Leur lecture me marqua durablement.
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