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jeudi 12 mars 2009

Discutons-en

« Parce qu’il nous semble que la répression n’est pas uniquement le fait des flics, des médias, des politiciens et de leurs souteneurs, mais que l’on exige également de nous de participer quotidiennement à notre propre servitude.

À partir de là, quelles oppositions à la répression ?

Mardi 17 mars 2009
De 19h à 22h au CICP
21 ter rue Voltaire
75011 Paris

M° Rue des Boulets

Prix libre en solidarité avec Kalimero,
caisse de soutien aux inculpés de la guerre sociale. »

5 commentaires:

  1. Pourquoi je ne peux écrire un commentaire là où je voudrais ? Je peux plus répondre au 2° anonyme de Spinoza. Je peux encore vous répondre sur le 1° message de Spinoza, mais votre , je ne sais comment dire, votre définition de l'élasticité du rayon du cercle m'a laissée, comment dire, pantoise ; je ne sais si la définition du cercle admet une telle élasticité. Et n'ai pu comprendre à qui vous faisiez référence

    Spinoza n'avait, pas plus que le commun des mortels, plus de connaissances en mathématiques ou physique plus que celles de son temps. Et moins que certains.

    C'est pas que ça me dit rien
    *Je sais bien que tous le jours , tous les jours, George, je dois lutter. Bon, ça me prend pas au réveil. J'ai le temps de boire un café. Ou deux. Mais après, ça vient.

    Bon, après deux cafés, ça me vient pas non plus comme Spinoza.
    Mais, George, je regrette, je regrette peut-être profondément, mais c'est pas le révolutionnaire qu'on voudrait qu'il soit. C'est pas non plus le grand mathématicien
    C'est un philosophe. Et justement pas mathématicien. Comme, par exemple, il se fait tard, Leitniz. Qui ,est moins à la mode. Mais ô combien important
    Alors, parlez, oui, parlez de Spinoza, mais pas quand il parle de cercle, de math, c'est là où il est le plus mauvais. Leibniz est son contemporain, et, dans ce domaine, c'est autre chose.

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  2. Nul ne prétend qu'il fût meilleur mathématicien ou physicien que d'autres de son époque (Galilée, Pascal, Huyghens, Leibniz…), quoiqu'il s'entendît quand même pas mal dans ces domaines, qui je vous le rappelle n'étaient d'ailleurs alors pas séparés comme aujourd'hui : on ne distinguait qu'entre la "philosophie première" et le reste.
    Nul ne prétend surtout qu'il fût "révolutionnaire", comme je l'ai dit précédemment : je vous ai déjà répondu auparavant sur tous ces points, et sur cette histoire aberrante de rayon variable que vous aviez vous-même soulevée. Et Lexomaniaque a pris soin de souligner qu'il n'avait nullement usurpé la signature personnelle d'Anonyme. S'il vous plaît, thé, (re)lisez les derniers commentaires du Héraut et du Nerf cardiaque.

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  3. Rectificatif : en fait si, il y a des Negri pour tirer Spinoza vers n'importe quoi, même si son insistance sur la multitude n'est pas dénuée d'intérêt. Mais ce n'est plus du Spinoza. On ne peut sérieusement prétendre, comme le fait ce monsieur, que la démocratie spinoziste est la réalisation de l'éternité dont il est question dans la cinquième partie.
    Pour les difficultés techniques entravant la publication des commentaires, je n'y peux rien, c'est le système de Blogueur qui déconne. Là aussi, j'ai déjà prodigué des conseils précédemment.

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  4. Non. Jamais dit qu'il usurpait. Ou me suis mal exprimée un soir de lassitude, peut-être. J'ai dit au contraire qu'il n'était nul besoin de prendre un pseudo quand on s'exprimait de cette façon. Et qu'on les reconnaîtrait entre tous. Enfin, j'aurais voulu le dire, et suis confuse que cela ait été pris dans un autre sens.

    J'ai pas dit, non plus, meilleur. Meilleur mathématicien. J'ai dit qu'il y en avait de meilleurs. Et, concernant les mathématiques, je leur ferais, disons, plus confiance ; et que, donc, un texte où Spinoza parle du cercle, ma foi, ça ne m'enchante guère. D'autres passages de Spinoza sont plus pertinents et intéressants ; bien plus que celui cité

    Certains que vous citez, je les vois pas trop s'exprimer en physique

    Non, ce n'était pas aussi séparé qu'aujourd'hui, dit-on.
    Dit-on et encore dit-on
    Je crois que c'est ce qu'on a voulu nous faire croire
    On a créé après coup des savants qui s'occupaient de leur pure science. On oublie Newton et ses recherches alchimiques. Un exemple parmi tant d'autres. Et le pire.
    Je ne crois pas qu'il y a eu jamais, et même maintenant, ni même au 17°, 18°, 19°, de savants qui dissocient ce que vous appelez philosophie 1° et le reste.

    Et, pour en revenir au cercle, George, je n'ai jamais parlé d'élasticité. Jamais. Je vous ai dit, la constante du rayon. Jamais dit variable, au contraire. Après revenir à mon 1° message, j'ai parlé de mobilité. Sinon, vous n'auriez pas un cercle mais un point.

    Vous m'avez pas répondu. Vous avez confondu les termes que j'ai employés
    Concernant le cercle, je les emploie pas trop à la légère

    Ce sont, à peu près, les seules choses dont je sois sûre, dans ma vie ; ça et les citations des poètes. Le reste, j'ai du mal à retrouver le plus court chemin pour rentrer chez moi.

    Pour Negri, on est d'accord. On va finir par se réconcilier....

    J'ai pas tout lu de vos derniers écrits et des divers commentateurs, mais j'y vais. De ce pas.

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  5. Pour se réconcilier, encore faut-il d'abord avoir été fâché, ce qui n'est pas mon cas. Seulement, je déteste les quiproquos, surtout quand ils persistent alors qu'on a tenté d'œuvrer à les dissoudre.
    "Philosophie première", ce n'est pas moi qui ait inventé l'expression : c'est réellement ainsi qu'on désignait, encore au XVIIe, ce qu'on appelle aujourd'hui "métaphysique". Voyez Hobbes, par exemple.
    Sur le cercle, brisons là : je crois que nous sommes d'accord sur l'essentiel, qui continue de toujours être menacé par l'insignifiant, sur lequel nous n'allons pas perdre notre temps à disputer, n'est-ce pas ?

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