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samedi 7 mars 2009

La jeunesse n'attend pas le nombre des années


Ils ne passent pas toutes leurs journées à se décérébrer, sur le plateau de Millevaches.

3 commentaires:

  1. Au risque de vous déplaire, George, j'ai pas aimé. Pas le propos, la musique

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  2. Sachez qu'à moi non plus : on se croirait revenu au début des années 80 (plutôt Lili Drop que Marquis de Sade), alors qu'à cette époque les autonomes inquiétaient un poil plus sérieusement queques autorités. Et ces horreurs d'effets spéciaux, beuârk ! Mais les paroles sont fraîches au possible, surtout quand on sait que les plus vieux de ces "auteurs-compositeurs" ne sont même pas majeurs (au sens giscardien du terme).
    Enfin, je dis ça, et en même temps j'ai du mal à m'extraire des oreilles leur monotone ritournelle timidement scandée.

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  3. George

    Je sais pas où on se croit revenu. Des musiques des années 30 me plaisent. Et la musique des années antérieures encore me plaisent encore plus
    On peut scander sans déplaire. Et, je ne vois aucune timidité, là-dedans. En fait, j'y vois rien

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