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mercredi 2 décembre 2015

Monter en chair
(« Que ceux qui savent comprendre… comprennent ! »)



Extrait du film d'Yves Robert, Les copains (1964)

8 commentaires:

  1. Nom de diou, ça fait du bien !

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  2. Ohé, Jules, faut pas blasphémer comme ça, morbleu !

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  3. Mais, putain de moine, c'est pas un blasphème, c'est une interjection.

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  4. Sacrédiou de crénom de tudieu, on en apprend tous les jours !

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  5. J'adore Yves Robert. J'ai une grande nostalgie de tous ses films, libertaires mais joyeux, prêchant l'amitié et l'amour, et à la satire tendre et bonne enfant : La Guerre des boutons, Alexandre le bienheureux, Un Elephant, Nous irons tous..., peut-être un Grand blond ou deux, le mythique Oncle Benjamin (à confirmer que c'est bien d'YR)... Je ressens le même plaisir à ses films qu'à la lecture des romans de Marcel Aymé. Et tous ces acteurs magnifiques ! C'était le bon temps bordel à cul de vierge en sainte !

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  6. C'était surtout le temps des scénaristes, et pas encore celui du putain de moine de cinéma d'auteur !

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  7. Y'a aussi "La guerre des boutons" (celui de 61) dont je suis baba depuis l'age de huit ans.
    Et oui, le temps des scénaristes… Avant qu'une bande de prétentieux n'aille mépriser un certain ciné social sous le sobriquet de « qualité française ».
    "Mon Oncle Benjamin" serait plutôt de Molinaro.

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  8. Oui, merci Jules, ça m'est revenu. Les films de Robert sont à l'unisson aussi, comme l'extrait d'ici le montre, avec les chansons de Brassens, que j'adorais, que j'adore toujours, mais que j'écoute désormais avec un pointe de tristesse dans le coeur : quand j'étais mino, en écoutant ses chansons, j'ai cru qu'on pouvait, en se préservant autant que possible des cons, vivre une vie libre, libertine et pleine d'amitiés, dans un monde bon enfant sentant bon le lilas, et la gouaille populaire. Pas la dévastation totale et définitive au goût de diesel, d'atome, d'addiction numérique et de haine qui vient. Alors je me sens un peu trahi à chaque fois que je le réécoute, ça fait un peu mal. Bien sûr, son temps n'était pas rose non plus, c'est juste ma naïveté enfantine (je l'ai écouté dès le berceau) qui m'a fait confondre l'ambiance de ses chansons avec la vraie vie...

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