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mercredi 17 décembre 2014

— Si mon champ te dit…
— Mais…



En exclusivité intersidérale grâce à l'ami Perrache, qui se garde des lions (hem…) mais a dû transpirer sang et eau pour parvenir à numériser ce vinyle rarissime !

9 commentaires:

  1. L'est rien bath, le sieur Perrache.
    Merci à lui et à vous, Georgie Boy !

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  2. À votre service, M'sieu Pop !

    Le temps fait tout à l'affaire, comme disait l'autre, depuis qu'on l'attendait, celle-là…

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  3. Bonheur d'entendre cette voix exceptionnelle. Cependant la troisième chanson pue un peu et Dimay, qu'on loue partout (ou presque) nous a pondu quelques vers qu'on dirait droit sorti du répertoire de Robert Lamoureux... Nous lui pardonnons en repensant à Syracuse...

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  4. Un bien beau cadeau de m'sieur Perrache.
    Sur un tel nombre de chansons écrites par le gros Nanard, j'ai tendance à être plutôt indulgent.
    Mais en ce qui concerne Syracuse, c'est loin d'être ma préférée. M'a toujours fait penser à un catalogue d'agence de voyages.
    Salud !

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  5. Merci à nos archivistes au long cours. On regrette qu'il n'y ait que quatre chansons... Comme on regrette, parfois, que les bouteilles aient un fond.
    Santé !

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  6. Plutôt d'accord avec Soluto, sur ce coup-là, même si c'est plus de l'anti-américanisme ("anti-richard texan", pour être précis) que de la xénophobie comme celle qui suinte partout en notre triste époque…

    Elliott, si les bouteilles n'avaient pas de fond, on ne pourrait jamais boire, tout s'épanchant par leur cul ! Mais tu as raison sur le fond, justement : dommage qu'elles ne soient pas inépuisables…

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  7. Concernant "la valise à pierrot", c'est un texte qu'on retrouve dans le recueil "poèmes voyous" qui a été chanté aussi par mouloudji. Je voudrais pas faire mon Michel Sardou, mais il faut le prendre au second degré ce texte. Il se moque au contraire (gentiment peut-être, c'est à chacun de juger) des discours réac de certains voyous et de certains maquereaux de l'époque. Prh.

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  8. Merci pour cette rectification, Perrache : j'avais oublié l'interprétation de Mouloudji, dans la bouche de qui la chose perd effectivement toute ambiguïté !
    Mais je ne comprends toujours pas le sens du titre…

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  9. ... Et la corne d'abondance Georgius ?
    Pour revenir à cette chanson, le truc de l'adultère est récurrent chez Nanard, je pense, par exemple, aux Amants de ma femme, dont on pourra écouter une version ici( y a une version de Nanard lui-même, bien meilleure, mais pas sur la toile a priori). Une forfanterie pour faire rire les copains bien sûr, mais on sent bien l'amertume qu'il y a derrière, si vous me passez l'expression. Et quand on lit "la blessure de l'ogre" d'Yvette Cathiard ( sa compagne de toujours) ça en devient presque "glauque" : étaler les coucheries d'Yvette en public (haha, on rigole)...
    Je me demande si y avait pas effectivement un amerloc dans le lot...
    Sinon, pas oublier que Nanard traînait pas mal place du Tertre et que des grotiums estrangers en goguette, il devait en avoir un paquet dans le nez.

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