Avertissement légal

Tous les textes apparaissant sur ce site sont automatiquement générés par notre nouveau logiciel Hétéronomix™ qui vous libère enfin de la pesante nécessité de réfléchir.
Ne perdez plus votre précieux temps de consommateurice à répondre à vos correspondants, les plus exigeants fussent-ils quant à la teneur conceptuelle ou la qualité des propos échangés : Hétéronomix™ se charge de tout ! Syntaxe et orthographe garanties parfaites et évolutives au fil des décrets.
Approuvé par la norme AFNOR ISO 9001.

mercredi 24 juillet 2013

Qu'à hyènes...




Impossible de trouver sur Ioutioube une meilleure version que celle-ci, alors qu'il en existe une excellente, enregistrée sur un 33 T. vinyle d'hommage à Parabellum pour leur trentième anniveraire.
On pourra néanmoins en trouver d'autres sur cette page.

14 commentaires:

  1. Bon anniversaire à ,Papa Schultz et à sa bande de rockeurs de proximité.
    Mais sait-on bien de qui est la chanson "Cayenne" ou l'auteur est-il toujours introuvé ( comme celui de la "Chanson de Craonne" par exemple)
    Amitiés
    Michel

    RépondreSupprimer
  2. Certes, cher George, voilà bien une chanson qui tue, comme disent les jeunes (qui ne mourront jamais). Son côté " hommage aux maquereaux " (nous parlons ici de la profession, et non du représentant, d'ailleurs savoureux, de la très honorable espèce aquatique Scomber scombrus) nous aura cependant toujours quelque peu incommodés.
    Nous lui préférons, de loin, le sublime hommage d'amour rendu par le sieur Schultz (gare aux contrepèteries, petit polisson que vous êtes) aux vieilles cloches de l'asile de Nanterre : " Le dernier trocson ".
    Peut-être connaissez-vous également cette dernière - et magnifique - ritournelle.
    Votre main.

    RépondreSupprimer
  3. Ben non, Michel, j'ignore qui est l'auteur de cette chanson. Je demanderai à Schultz la prochaine fois que je le croiserai.
    Le vinyle est sorti l'an dernier, il me semble, pour le trentième anniversaire.

    Nous sommes bien d'accord, cher Moine : cette célébration des macs me hérisse moi aussi (et je ne parle pas des ordinateurs). Mais je trouve cette interprétation savoureuse, dans le même genre que la Messe en Jean Mineur de Boris Vian.
    Et merci pour Le dernier trocson , que je ne connaissais pas !

    RépondreSupprimer
  4. bonsoir bonsoir

    dans cet entretien, le géant vert répond à la question de michel:

    http://www.atelierdecreationlibertaire.com/alexandre-jacob/2011/03/dix-questions-a-geant-vert/

    "" C’était un refrain très populaire aux Puces de Clignancourt. C’est Rolland Adenot, un vieux titi (il avait au moins quarante ans en 1984) qui me l’a apprise. Dès qu’il voyait des bleus, il se mettait à chantonner “Mort aux vaches”. Quand j’ai voulu amener le titre à Parabellum, Rolland ne se rappelait pas des paroles, et j’ai dû improviser à partir de quelques phrases. Apparemment, je ne suis pas trop mauvais dans l’exercice de la restauration quasiment à l’identique. Par contre, j’ai un peu de mal pour me rappeler ce que j’ai écrit et ce qu’on m’a appris. Il faudrait que je consulte mes carnets.

    Pour Aristide Bruant, il l’a jouée et certainement adaptée à sa sauce. Par contre, j’ai toujours entendu dire que le titre n’était pas de lui et venait des années vingt ou trente. Vu que Bruant est mort en 1925, c’est possible. Pour le reste, la transmission des refrains populaires se faisait de façon orale au hasard des déplacements de population. Il y avait forcément des adaptations locales, des oublis, des plagiats manifestes, etc. A la fin, il pouvait y avoir cinquante versions à partir de la même comptine. Exactement comme dans le blues du delta. A l’époque, seuls les plus grands succès populaires étaient retranscrits sous forme de feuilles de chant vendues dans la rue et, je me répète, la mémoire du chanteur pouvait être défaillante. A ce propos, j’ai lu quelque part que le texte semblait avoir été écrit par une personne qui ne connaissait pas trop Paris. Je ne comprends pas. Est-ce rapport au cimetière près de la Porte Saint-Martin ? C’est vrai que ce cimetière ouvert au XVIIème siècle pour les Protestants étrangers a été rapidement fermé en 1762, d’où une éventuelle interrogation sur le passage en question. Mais, il est aussi très possible que la trame de “Cayenne” soit une chanson populaire remontant plus loin en arrière et réactualisée au début du XXème siècle pour les besoins de la cause. Dans la version “pieds noirs” que j’ai filée au groupe “Les Amis de ta Femme”, le dernier couplet - même si je le trouve génial, ne peut absolument pas provenir de l’épitaphe d’une pierre tombale d’un Protestant ! En fait, je ne pense pas que nous aurons la réponse un jour. C’était juste une chanson qui remplaçait le Prozac chez les mécontents : on administre la posologie et on oublie. ""


    (salutations à georges wfw
    de la part du "monsieur de fred deux")

    RépondreSupprimer
  5. Grand merci, tampaxromana, pour ce lien et ces précisions très éclairantes, même si, comme le dit en substance Géant Vert, on ne connaîtra sans doute jamais l'origine du morceau !

    Je ne vois pas du tout qui vous êtes (Tristan ? Yoann ?) mais je vous adresse également mes meilleures salutations.

    RépondreSupprimer
  6. tristan, tout juste

    , belle mémoire!

    RépondreSupprimer
  7. Grand Merci tampaxorama.
    On se sent moins couillon après ça.
    Amitiés
    Michel

    RépondreSupprimer
  8. Je n'ai guère de mérite, Tristan, vu que fort peu ont commenté à propos de Fred Deux (alors que ce sont les billets les plus visités de ce blogue).

    Et je vous dois de bien plates excuses pour avoir sans cesse différé cette fameuse visite à la chaussée du Pont et même posé un affreux lapin !

    RépondreSupprimer
  9. ha! ha! ce n'est rien
    j'ai finalement pu un jour passer le pas du 5, un temps de promenade et de porte miraculeusement ouverte
    la piaule de l'oncle fut simple à repérer, en revanche
    j'ai eu quelques doutes quant à la cave, ne me souvenant plus des détails/précisions concernant son emplacement

    sans doute aurons-nous l'occasion de nous croiser enfin, un de ce 4 matins, midis ou soirs

    RépondreSupprimer
  10. Mais j'espère bien !…

    Et il faudra bien que je me décide un jour à me taper toute la ligne 9 pour aller voir à mon tour cet immeuble mythique et prendre quelques photos…

    Je ne me souviens plus où Fred décrit l'emplacement de la piaule de l'oncle (une chambre de bonne, dans mon souvenir) : au moment de son suicide ? mais pour ce qui regarde l'emplacement de la cave c'est précisé au tout début de l'émission « Fred Deux : La vie, les yeux ouverts », encore audible sur ce site.
    La première porte à droite en bas de l'escalier donnant à la cave, au fond du vestibule…

    RépondreSupprimer
  11. dans le flot et l'épopée je n'ai pas davantage retenu le passage où l'emplacement de la piaule de l'oncle est situé
    mais il m'était malgré cela resté en mémoire, étant précisément facile à retenir
    :: au tout dernier étage, la chambre de bonne pile en face de l'arrivée des escaliers
    (au passage, j'ai par hasard remis hier le nez dans "la ligne de partage" -le catalogue qui avait été édité lors de leur exposition commune, à la halle saint pierre- et je suis re/tombé sur cette photo, elle aussi oubliée, présentant fred avec l'oncle:
    et j'ai été très frappé car l'homme sur cette photo m'a paru avoir au moins une cinquantaine d'années, alors qu'il est mort à 27 piges; troublant...)

    quant à la cave, c'est en effet le souvenir -imprécis mais aidé par la logique topographique de lieux- que j'en avais et c'est ainsi sur place que je l'avais (ou que je pensais l'avoir) localisé; la réécoute de l'extrait semble a posteriori me le confirmer.
    au fond de l'entrée (hall puis vestibule), les escaliers sur la gauche menant vers les étages supérieurs, et derrière, par la droite, les escaliers vers les caves -la porte pour y accéder dont il fait mention ayant disparu.
    et, tout à fait, une/la porte juste à droite en bas des escaliers et qui donne sur la cour.
    dans mon idée, la cave était située plus en contrebas de la cour (qui elle-même est en contrebas par rapport au niveau de la chaussée) car il explique quelque part qu'avant qu'une fenêtre soit installée il y avait un soupirail (donc, dans ma tête, en haut de la pièce et au ras du sol de la cour).

    en tout cas si d'aventures vous envisagez à nouveau d'y mettre les pieds, je suis de la partie.

    là-bas ou ailleurs, d'ailleurs

    RépondreSupprimer
  12. Okay, je vais tenter de m'extirper de ma léthargie torpide pluridécennale et de me remettre en selle dans le courant du mois d'août…

    Merci pour toutes ces précisions, et si vous avez pris des photos elles sont évidemment les bienvenues !

    RépondreSupprimer
  13. l'escapade ayant été improvisée
    je n'avais pas dans les poches de quoi fixer ça sur celluloïd
    mais j'ai depuis acquis un appareil jetable qui ne demande que ça

    le mois d'août a portes et fenêtres ouvertes

    RépondreSupprimer
  14. D'accord, Tristan, je vais essayer d'arrêter de me comporter comme Nicoletta

    RépondreSupprimer