Ce passage est extrait du magnifique film d'Alain Tanner, Charles mort ou vif (1969), dans lequel ou peut entendre, vers la fin, cette phrase d'une terrible actualité :
La violence de l'oppression n'a plus besoin de visage; elle n'a même plus besoin de fusil.
La violence de l'oppression n'a plus besoin de visage; elle n'a même plus besoin de fusil.
Je roule en solex, c'est un sujet de conversation comme un autre. (oui, entre les fanatiques qui me saoulent, ceux qui se moquent, les nostalgiques, ceux qui essayent de me voler l'engin, et les autres qui m'ennuient juste pour faire un tour avec)
RépondreSupprimerEt puis au moins on sait que c'est moi !
Je ne comprends pas l'invitation sur Les Moissonneuses. Le blog n'existe plus. Vous donnez à lire les pages que vous avez sauvées ?
RépondreSupprimerOui, petit à petit.
RépondreSupprimerTanner, La Salamandre...
RépondreSupprimerCertes très plaisant, comme tous ceux de cette première époque, mais je lui préfère celui-ci et Le milieu du monde. Ou alors, avec le même Bideau et dans le même registre que La salamandre, Les arpenteurs, de Michel Soutter.
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