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mardi 4 octobre 2022

Ô tous les rêves du choix !

Pierre Dumayet n'était pas complètement marteau, même s'il n'y allait pas avec le dos de son cul hier (je veux dire, jadis) face à cette jeune gisquette frétillante (et légèrement édentée, rêve !) qui était alors l'épouse officielle de Guy Debord.

Le bouquin est disponible aux éditions Allia, qui l'ont réédité en 2004.

Mais on attend toujours les entretiens de Berréby avec Michèle Bernstein, qui devaient suivre de peu ceux avec Vaneigem, ça fait huit ans déjà…

Va savoir pourquoi, ça me rappelle cette autre merveille, Les chevaux de bois sont ivres, du camarade Victor — à propos duquel j'ai tenté naguère d'élucider certaines infamies dans un autre blogue.

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Note du jeudi 6 octobre : l'ami Tristan ayant signalé en commentaire ci-dessous une intéressante émission de 2018 avec la même Bernstein, je la rajoute illico :

5 commentaires:

  1. En fait, on dirait vraiment un examinateur du bac français qui fait passer l'oral à une élève trop espiègle et insubordonnée à son goût ! Jusqu'à l'accuser du talent et de l'habileté qu'il lui reconnaît !

    Elle aurait pas été une jeune femme, la Bernstein, il lui aurait causé pareil, le Dumayet ? (et je dis pas que Dumas y est !)

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  2. "Ils boivent bien. (...) Ils boivent avec élégance, après ils ne sont pas très ivres."

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  3. Ah oui, merci schizo, c'est bien ce passage-là qui m'a évoqué Maurice Raphaël par association avec le titre du bouquin de la malicieuse Michèle !

    Tous les vœux chauds rudoient ?

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  4. j'ai revu cet entretien il y a quelques jours,
    et j'ai été frappé par ce plan, tout à fait inattendu, à 3'21, que je ne saurais guère expliquer autrement que par une espièglerie contagieuse, transmise au régisseur. son incongruité -assez rare dans l'histoire de la tévé, il me semble- ne cesse, quoi qu'il en soit, de me faire rire.

    tout-à-fait d'accord, par ailleurs, sur la position d'examinateur de pierre dumayet.
    pour autant, avant le dernier plan sur la couverture du bouquin, le dialogue se clôt par un fondu au noir duquel s'échappe in extremis son sourire, dont la complicité qu'il semble trahir renverse quelque peu la perspective de cet échange.
    pour reprendre la phrase de michèle bernstein que les éditions allia ont fait figurer, seule, sur la quatrième de couverture de "la nuit": "ce ne sera qu'une plaisanterie".
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    (j'en profite pour partager ici cette émission, qui ne devrait pas vous déplaire:
    https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/etonnez-moi-benoit/avec-michele-bernstein-et-serge-korber-retrouvailles-au-quartier-latin-dans-etonnez-moi-benoit-9213941 )

    tristan

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