Avertissement légal

Tous les textes apparaissant sur ce site sont automatiquement générés par notre nouveau logiciel Hétéronomix™ qui vous libère enfin de la pesante nécessité de réfléchir.
Ne perdez plus votre précieux temps de consommateurice à répondre à vos correspondants, les plus exigeants fussent-ils quant à la teneur conceptuelle ou la qualité des propos échangés : Hétéronomix™ se charge de tout ! Syntaxe et orthographe garanties parfaites et évolutives au fil des décrets.
Approuvé par la norme AFNOR ISO 9001.

jeudi 7 novembre 2019

« Le terrorisme de la fin 1946 »


C'est juste que, rapport au billet précédent, j'ai de la suite dans les idées…

— Ah bon, mais t'en as très peu pourtant (décidé) 

— Ta gueule, la mémoire !
Et c'est pas parce qu'il nous servait à boire / Qu'on oubliera l'espoir / D'un grand soir

— Mouaif…


[La partie du débat de l'entre-deux-tours de 1988 qui nous intéresse ici commence à 02'55" dans cet extrait. Pour ce qui concerne l'extradition de Wahid Gordji (et le suicide subséquent du juge Boulouque, en 1990) voir le film de William Karel, La fille du juge].


À cette époque-là, en 1946, il n'y avait plus de Führer, en effet, même si les deux candidats de 1988 rêvaient de l'être, chacun à sa manière.

Intéressant lapsus, tout de même, ce « 1946 » pour « 1986 », surtout de la part d'un vieux briscard auréolé de sa Francisque qui avait auparavant cherché à en remontrer à un Marchais qui lui-même protestait ses grands dieux que jamais au grand jamais il n'avait filé comme un agneau au STO.

Comme a priori ce Chirac qui assure ici n'avoir jamais « levé le voile », lui qui quinze ans plus tard nourrira l'animosité contre le hijab.

Sans parler du burkini, que ce même Chirac aurait pu — dans un futur antérieur conditionnel, temps hypothétique s'il en est — revêtir avec une élégance peut-être bernadettesque pour se baigner dans la Seine.


0 urbanité(s) attique(s):

Enregistrer un commentaire