Lorsqu'on sait que Tolstoï s'adonnait volontiers aux contrepèteries, le titre de son chef d'œuvre (« guère épais », disait Proust) témoigne à l'évidence qu'il fut un fieffé partisan par anticipation de la loi sur le mariage pour tous…
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jeudi 9 mai 2013
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RépondreSupprimerL'art de la contrepèterie ne s'acquiert point.
Il faut naître l'ayant.
Comme disait Jean-Sol Partre.
Yale entraîne folie.
RépondreSupprimerSi l'existence précède l'essence, les choses existent avant qu'elles soient, ce que Jean-Pierre Brisset aurait sans doute formulé ainsi : « Les chauds sexistes hâves encaissent l'oie. »
En Pologne, sur les chantiers navals de Gdansk, Lech : haut, sec (sista !) vanne : quel sot, ah !
RépondreSupprimerLèche au sexe, Ys ! T'as vent ? Qu'elles soient !
RépondreSupprimerEn Pologne, sur les chantiers navals de Gdansk - et comme il était aussi dans l'export de chaussures - Lech chaussait (ce ... iste !) à fond Quessoy.
RépondreSupprimerLait chaud ?
RépondreSupprimerJ'exige c'tas : vends !
Quelle soie…
En Pologne, sur les chantiers navals de Gdansk, Lech ose, excite, avant quel soir !
RépondreSupprimerC'est la seule impatience du chancelier Adolf Hitler qui le faisait s'exprimer ainsi, lorsqu'on l'interrogeait sur la difficulté éventuelle qu'il y aurait à conquérir enfin les îles normandes qu'il convoitait :
RépondreSupprimer" Les Chausey ? Sieg ! Ach ! Wankel, sot ! Ach ! "
(On notera l'injustice faite ici à l'ingénieur en chef du Reich, pourtant dévoué corps et âme au projet de son maître.)
Pauvre Wankel, en effet…
RépondreSupprimerN'oublions pas qu'un ivrogne libidineux s'exclama aux vêpres devant ses compagnons, Xavier et Hank :
"Les chauds sexes (hic !), Xav', Hank !
Et le soir…",
avant de s'écrouler dans un coma éthylique.
En Pologne, sur les chantiers navals de Gdansk, les chacals rôdent, à l'affût de quelque bonne affaire immobilière :
RépondreSupprimerLech’s house ?
- exit !
À vendre ?
- Casse’oi !
Cet indien a beau être une bête de sexe, je n’arrive pas à déterminer s’il méprise juste les femmes, ou s’il pourrait se révéler carrément psychopathe :
RépondreSupprimerLouche ou sexiste, havant Quechua ?
Comme me le confiait hier encore un grand spécialiste, sortant tout juste d’une belle exposition à la BNF, les situationnistes se revendiquaient volontiers de tous les grands hooligans de l’histoire, à commencer par Jan Zizka, qu’ils invoquaient fréquemment avec nostalgie. Hélas pour lui, ce spécialiste, mâchonnant un sandwich tout en parlant, demeurait parfois inintelligible, au moment de citer les situs :
RépondreSupprimer- " L’ ihèche ose ! Et que Zizka vienne, casse, ouais !"
Ces footballeurs égyptiens font vraiment merveille en attaque :
RépondreSupprimerHâlés, chauds Hégazy ! C’t’avant : qu’est-ce !!! Ouah !!!
On enjoignait encore récemment en Bretagne le répugnant passeur des morts d'attraper au moyen de la langue l'écharpe soyeuse de ses victimes :
RépondreSupprimer"Lèche, ose, ex-kyste, hâve Ankou ! Hèle soie !"
Pathétiques spectacles que ceux donnés ici par ce site, et ailleurs par d'autres, échouant dans leur quête de délivrer des billets intéressants, ce dont ils ont parfaitement conscience :
RépondreSupprimerLaids shows ! et qu'c'site a vent qu'échoua...
Les chaussettes de soie suscitent à la fois l'admiration quant au travail qu'exige leur confection et une certaine interrogation sur la nature exacte de leur tissu :
RépondreSupprimer"Les chaussettes : hi ! c'taf !… En quelle soie ?"
À Biribi, les gardiens les plus redoutés pour leur cruauté étaient les britanniques, surnommés " oeuf " (ou "crâne d'oeuf") par les prisonniers, du fait de leur crâne rasé. Ceux-là allaient souvent jusqu'à torturer à coups de lame rouillés, extraites de toutes sortes d'instruments de bricolage antédiluviens ! D'où ce chant cynique, populaire parmi les détenus, et écrit en un sabir à peine compréhensible :
RépondreSupprimer" Le Chaouch-eggs is to have uncle's saw "
Tandis que de vers le Val de Susa, certains partisans gamahucheurs (mais hydrophobes) de la lutte "NO-TAV" ont souvent entendu ce vœu :
RépondreSupprimer"Lèche au sec, si c'TAV t'encule ! (souhait)"
Le pâle Hank proposa à Josette de fonder avec ses sœurs un groupe de rock, mais celle-ci, cupide, lui demanda aussitôt s'il y aurait un intérêt pécuniaire :
RépondreSupprimer"Les Josette's Sisters, hâve Hank ? Quels sous, hé ?"
Les mafieux n'ayant pas le sens de l'humour, ils promettaient - menaçants - d'enterrer vivant le premier imbécile (par ailleurs, un peu rondouillard) qui oserait se moquer d'eux :
RépondreSupprimerLes chaux, sec ! si c'tas vanne, quel sot !
Interdire la circulation dans un petit centre-ville breton à tout marcheur chaussé, mais enfin, qu'est-ce que cela signifie ? C'est scandaleux !
RépondreSupprimerCar du coup :
Les shoes hésitent à Vannes, qu'est-ce, ça ?
Le boulanger fait remarquer au chanteur Dave que la colère de ses petits choux établis ne porte guère à conséquence :
RépondreSupprimer"Les chouquettes sises, Dave, engueulent ? Soit !"
Pratique barbare que celle consistant à massacrer nos amis félidés pour en faire des descentes de lit ou tout autre instrument de confort, prétendument esthétique :
RépondreSupprimerLes chats-housses (aigres) gisent, tas vaincu, soit !
À l'aube des années 80, le projet d'enlaidir davantage la commune de Chooz par un deuxième réacteur nucléaire suscita de violentes manifestations qui se prolongeaient souvent aux vêpres par de joyeuses agapes :
RépondreSupprimer"Laid Chooz excita banquets le soir"
Charlus se vit un jour intimer par un certain Keith de lui pomper le dard, alors même que ledit Keith était affairé à pédiquer un autre personnage de La Recherche… :
RépondreSupprimer— Lèche !
— Où ça, hé, Keith ? Toi, t'encules Swann !
Quand le grand-maître Li Chao déchaînait la puissance de ses arts martiaux, on ne pouvait guère qu’encourager le pauvre Octave, son sparring-partner habituel, à tenter d’en prendre le moins possible dans la tronche :
RépondreSupprimerLi Chao s’excite, ’ctave ! Encaisse ! Ouaïe !
Alors que Sir Walter Scott, fin lettré, vantait un jour les vertus diététiques du chou, il s'entendit rétorquer par un betteravier peu amène :
RépondreSupprimer"Les choux, c'est qu'kystes, savant d'Kelso, ha !"
Sur les chantiers navals de Gdansk, de retour d’Afrique (où il s’était enfin remarié), l’ancien tombeur du régime stalinien, ultra-catholique fervent, élève avec bonheur sa nombreuse progéniture :
RépondreSupprimerLech Haoussa-Guisiste a vingt que choya.
Le barman renseigne un client sur le coût en euros (modique, selon lui) d'une boisson chaude mais au vu du billet qu'il exhibe se met à rêver sur la fortune supposée de son interlocuteur :
RépondreSupprimer"Laid chaud ? C'est qu'six.
T'as vingt ? Quels sous, ah…"
Il y aurait tant à dire sur certaines raideurs idéologiques propres au guévarisme, lequel déclenche par ailleurs, aujourd’hui encore, des raideurs de toutes sortes :
RépondreSupprimerLe Che, oh ! sexy stal vaincu suave…
À Gdansk, Walesa était toujours vêtus de fripes polonaises minables.
RépondreSupprimerLors de son accession au pouvoir suprême, un diplomate distrait voulut l'inciter à porter des jean's de marque mais s'extasia aussitôt devant la qualité de ceux qu'exhibait désormais l'ex-ouvrier :
"Lech, ose Levi's !
T'as Wranglers ? Ouah…"
Pendant la guerre civile en Russie, l’argent étant plus que jamais le nerf de la guerre, les armées blanches faisaient inlassablement le tour de leurs riches soutiens, afin de leur extorquer, à chaque fois, de très grosses sommes, en échange d’une bonne publicité…
RépondreSupprimer" Les chauds chèques – six – t’as ? Wrangel saura ! "
Attablé au restaurant et rond comme une queue de pelle, l'ami Han apprend du serveur que le plat qu'il déguste est notoirement aphrodisiaque. Stupéfaction. Sa colère éclate et il balance le plat à la volée :
RépondreSupprimer"Les sauces excitent ?!
Ah, vlan !", gueule, saoul, Han.
Je me souviens encore de Tony Gatlif, pris sous cette horrible averse, et tentant de mettre à l’abri sous une grange son unique exemplaire d’ « Au pays de la cloche fêlée », sous les bravos de ses camarades :
RépondreSupprimerLatcho : au sec ici !!! T’as Van qu’est d’sous ? ah !
Un banquier suisse alcoolique voulait s'enrôler dans l'armée guévariste mais il était communiste et inféodé à toutes sortes d'idéologies et d'"-ismes".
RépondreSupprimerOn lui conseilla :
"Laisse au Che ces "-istes", ta banque et le foie !"
En Pologne, sur les chantiers navals de Gdansk, Lech continue à venir en aide à des ouvriers souvent incapables de remplir leur formulaire de demande de crédit à la consommation, en leur expliquant par exemple comment (et où) justifier de leur revenus réguliers :
RépondreSupprimerLech (haut, sic) :
- Si c’taf encaisse !!!
Sous « ahrres » !
On tentait de convaincre la jeune Isabelle de se donner au beau Franck sous des draps de de luxe :
RépondreSupprimer"Les jeux d'sexe, Isa ! T'as Franck ! Et la soie…"
Un promoteur du nord de la Russie cherchait à convaincre le propriétaire d'un chalet de bois de le lui vendre afin d'édifier à sa place un carrefour routier, mais il demeurait évasif sur le prix de la transaction :
RépondreSupprimer"Les chaussées, qu' c'tt' isba ! Vends !
Quels sous ? Ah…"
Le nouveau maître de Hisse l'avait renommé Médor mais se désolait de constater que le chien, alcoolique, refusait toute nourriture solide :
RépondreSupprimer"Lèche os, ex-Hisse ! Ta langue, elle boit."
Il ne t’appartient pas de mettre en doute cette croyance des transsexuels opérés, dont Erwann est le saint patron, et selon lesquels l’icône de leur cœur verserait, en certaines occasions miraculeuses, des larmes de sang :
RépondreSupprimerLaisse aux ex-zigues d’Erwann qu’elle sua !
Si, dans ce restaurant branché, au moment où la serveuse te propose le plat du jour, tu tires une tronche de six pieds de long, pourquoi s’en prendre à cette pauvre employée, et non à la bonne copine qui aura insisté pour te traîner ici ?
RépondreSupprimer- « Litchis aux algues », sista ?!!! - Va ! engueule Souad !
Moi, Dave le timoré, je craignais les abrutis, surtout les étrangers, mais on m'a heureusement rassuré :
RépondreSupprimer"Les sots, c'est queutchi (tsss !), Dave : Anglais, Souabes…"
Arrivé au barbecue pour faire griller la cochonnaille, je m'aperçus immédiatement que la montagne de saucisses ne pouvait provenir (comme il était convenu) de l'excellente charcuterie de mon ami Yves, tant ça puait. Je m'insurgeais :
RépondreSupprimer"Les saucisses d'Yves, c' tas ? Vaï ! En quel choix ?!"
Ma grand-mère avait beau réussir de succulentes confitures lactées, elle ramenait tout à elle, aux dires de mon grand-père, rude marseillais ne mâchant pas ses mots :
RépondreSupprimer- « Lait chaud-cassis ! » té ! ‘a vante que soi !
Mon ami ne pouvait rien refuser à son harem de fiancées ; il suffisait que ce dernier le sifflât pour qu’il accourût comme le dernier des larbins…
RépondreSupprimerLes chieuses exigent : t’vas ? Vain gueux que ça !!!
Maria se riait d'un soupirant moche comme un pou qui ne cessait de lui prodiguer des avances :
RépondreSupprimer"Laid José insiste à fond : quel zouave !"
Le collectionneur de bandes dessinées se rit d'un margoulin qui essaie de lui vendre un prétendu sixième album de la série Jo, Zette et Jocko — qui comme chacun sait n'en compta que cinq :
RépondreSupprimer"Le Jo, Zette… 6, ta bande ?
Quel sot, ah !"
Les pratiques SM douteuses tolérées par ce proxénète achevaient de nous stupéfier :
RépondreSupprimerLaisse aux zgègues ? Hi ! c’t’hareng qu’asseoit !
Ma Dalton retint son fils énervé qui s'apprêtait à dézinguer Lucky Luke au moyen d'un fer à souder, juste avant un duel entre ledit Lucky Luke (que Ma considérait comme un gros tas) et Phil Defer :
RépondreSupprimer"Laisse, Joe. C'est qu' si c' tas vainc qu'on le soudera".
Je dois avouer une appétence assez peu courante, que partage cependant mon ami Hank : la vue de répugnants boutons blafards nous fait saliver, au point qu'il m'arrive de m'écrier :
RépondreSupprimer"Léchons ces kystes hâves, Hank !
Ils suent, aaaah…"
C’est pour sa santé que nous l’avons mis au régime. Mais lui semble ne pas le comprendre, et passe sa journée à murmurer, pour nous faire culpabiliser :
RépondreSupprimerLes sauces, exit ! ah : viennent caisses d’oie…
Les diarrhées épouvantables de notre ami anglais s’expliquent peut-être par une forme d’allergie à certaines céréales :
RépondreSupprimerLâche au seigle si c’dave encrassa…
Mao, s’enquérant, auprès du responsable du goulag numéro B 17 (dirigé par les officiers Tchoua et Vang) de l’endroit exact où était retenu son vieil adversaire de la révolution culturelle, se vit opposer cette réponse désarmante :
RépondreSupprimerLiu Chao, c’est l’zigue qu’a Vang (et Tchoua) ?
Mon amie superposait tant de soutiens-gorges que ses seins étaient toujours trempés de sueur, ce qui m'indisposait un peu. Je lui conseillai de se débarrasser d'une partie de ces effets :
RépondreSupprimer"Loches au sec, sista ! Vends quelques d'ssous, hé !"
Les nostalgiques des Beatles affirment souvent :
RépondreSupprimer"Hey Jude, ça incite à danser le soir !"
Ce type dévore tellement des yeux ses gourmandises préférés qu’il semble, pour ainsi dire, ne plus nous voir…
RépondreSupprimerLouche ou cécite ? Ah : fan d’cachou, ah ?
D'origine italienne comme moi-même, ma meilleure amie, le jour de son mariage, voulut juste avant la cérémonie me refiler son fiancé et le bouquet. Mais je ne lui ai pas mâché ma réplique :
RépondreSupprimer"Les roses et l' zigue ? Vai fan culo, zou ! ah !"
Il est d'usage en Italie de se dire au revoir au premier souffle du vent porteur de vœux :
RépondreSupprimer"Les Ciao ! s'exigent dès l' vent qu'est le souhait."
Les réalisateurs de musique de cinéma s’enrhument toujours suivant le même processus, en trois phases : on discute, on s’échauffe devant une fenêtre ouverte, puis vient un courant d’air malheureux…
RépondreSupprimerLaï chauds s’aiguisent,
T’as l'vent…
… quel Tchhhou !!! ha ! ha !
Certains vont jusqu’à inventer de ces histoires, de vrais délires de série Z :
RépondreSupprimer- Les seaux secs giclent ? T’inventes quel soap ?
La vraie raison de l'assassinat du Duc de Guise ?
RépondreSupprimerSa grippe chronique, tout simplement, et le fait qu'il était tellement contagieux que des éternuements incessants secouaient tout le royaume, mais aussi un malheureux concours de circonstances : le poignard destiné à seulement trancher son index (ce qui, croyait-on à l'époque, suffirait à le guérir) lui atterrit droit dans le cœur.
On connaît le célèbre dialogue, entre le chef de la police secrète et Henri III (en pleine crisse d'éternuements), qui détermina cet accident :
— Les "tchôôô !", c'est Guise.
— Tchâââ ! tranchez le doigt !
Walesa se montrait réticent à fumer du chichon, mais lorsqu'on lui apprit que cette barrette-là avait été dérobée à l'inventeur du moteur à piston rotatif, bien connu pour son exigence en matière de cames (et pas que celles des arbres), il s'inclina :
RépondreSupprimer— Lech, ose l'ex-shit à Wankel !
— Soit !
Un copain m'avait demandé de lui rapporter une paire de caleçons mais il fut déçu à la vue de ceux que je lui présentais. Il les trouvait rigides comme de la pierre et aurait préféré quelque tissu plus doux :
RépondreSupprimer"Ces shorts, c'est qu' schiste ! T'as manqué la soie ?"
En 1974, il se murmurait dans les milieux du cinéma que Lebovici avait été soudoyé par les situs pour publier leur prose, tellement la chose étonnait :
RépondreSupprimer"Lebo, c'est qu' l'I.S. t'a flanqué les sous, hein ?"
Sur les chantiers navals de Gdansk, le soir venu, Souad, l’amante de Lech, insistait à chaque fois au pire moment pour écouter un morceau de David Bowie :
RépondreSupprimer- Lech oh ! "ziggy star… "
- Avant d’ken, Souad ?
Cet hématome, consécutif à un vieux coup dans la gueule, je le sens encore, même dans l’air frais du matin :
RépondreSupprimerLes chocs résistent à vents, quel chtar !
Tu pourras utiliser les toilettes écologiques quand l'autre gros lard aura débité les bûches pour en faire de la sciure :
RépondreSupprimer"Les chiottes sèches ? Si c' tas fendait le bois !"
On s'apprêtait à déguster un délicieux foie de veau aux câpres mais cette saleté de cuisinière à gaz ne répond plus aux manettes et chauffe beaucoup trop fort :
RépondreSupprimerRéchaud laxiste a flambé le foie.
Le génocide au zyklon B était hélas ! bien difficile à admettre dans l'immédiat après-guerre, même pour des écrivains pourtant engagés, peu de temps auparavant, dans la Résistance, et donc en principe bien informés :
RépondreSupprimer" Les schleus, c'est gaziste ? " avance Cassou, " ah ? "
Arrivé sur le tournage de Niagara, Joseph Cotten (qui bandait comme un cerf) ne put s'empêcher de murmurer à l'oreille de Marilyn toute mouillée :
RépondreSupprimer"Les chutes, ça excite à fond ! Quel soir !…"
Sur le marché, la mercière se désolait que la pluie eût trempé ses pans de toile grossière : en attendant qu'elles sèchent, impossible de les vendre.
RépondreSupprimerSon voisin, qui s'efforçait de fourguer des colifichets africains, lui conseilla :
"Les jutes sèchent, sista ? Vends quelques soies !"
Le docteur était catégorique : dégénérescence aiguë des globules blancs de la vessie. Et son air grave laissait entrevoir l'épreuve terrible constituée par la thérapie appropriée :
RépondreSupprimer- Leuco-cystite... avant quels soins !
Pourvoyeur des meilleurs pages de Fluide Glacial, le frère de Carali avait constaté que la chaleur diurne annulait chez lui toute ardeur sexuelle :
RépondreSupprimerL'échaudé Edika bandait que le soir.
Paradoxe : la femme de Sinatra, devenue anti-féministe, croise sur les chantiers navals de Gdansk la maîtresse de Walesa, s'éprend aussitôt d'elle et commence à la draguer :
RépondreSupprimerL'épouse sexiste à Frank hèle Souad.
Sur les chantiers navals de Gdansk, il existe un petit zoo, créé là vers 1978 par les ouvriers en lutte pour se détendre, entre deux charges de police. Lech n'était pas le dernier à s'y rendre, pour observer avec un plaisir mâtiné d'effroi certaines espèces exotiques :
RépondreSupprimerLech ose, assista, d'vant Casoar.
L'impôt traditionnel indirect belge (et canadien) sur l'alcool révoltait tant le libéral Lech qu'il s'organisa au mieux, avec ses camarades, pour s'y soustraire financièrement :
RépondreSupprimerLech, aux accises, invente caisse noire.
Le commentateur sportif sur le retour s'insurgeait contre la sélection finale des athlètes olympiques, cette année-là :
RépondreSupprimer"Les J.O., c'est qu'zigues ! Tsss… enfin, quels zouaves !"
RépondreSupprimerLe malheureux Gene Simmons, avec l'ensemble de son groupe de rock, semble voir s'ouvrir devant lui de bien sombres perspectives judiciaires :
'l'échoue aux Assises, d'avance, Kiss : ouah !
Lue sur une affichette sur les hauteurs de Cannes, cette publicité pour une boîte spécialisée dans les peep-shows :
RépondreSupprimer"Les shows sexy ? C'est à Vence qu'est le choix !"
En dépit de ses diplômes brillamment obtenus, M. Li ne maîtrise pas encore totalement les subtilités de la langue française, comme le prouve l'affichette apposée sur la porte de son commerce, et annonçant son départ précipité en Chine, pour fêter l'heureux événement :
RépondreSupprimer" Li, cause accessit, devons s'casser, là ! "
Affriolée par la chaleur et le confort de la literie, elle supplia son amant américain de la pédiquer :
RépondreSupprimer"L' lit est chaud et sexy… Steve, encule-moi !"
L'hygiène n'était pas le souci principal de Debord, ainsi que le constatait, désolée, Michelle Bernstein, prenant pour l'occasion, devant les WC, l'accent théâtral de quelque marseillais de caricature :
RépondreSupprimerLes chiottes, est-ce Guy, té ? Navrant : cague sale...
RépondreSupprimerTonton Octave ne faisait pas l'unanimité : on décriait volontiers sa condescendance démagogique vis-à-vis des enfants, et sinon, son silence obstiné.
Lâches, oh ! ces gouzi, c't' 'tave, oncle et coi...
Les partisans de la lutte "NO-TAV" tentent de convaincre un paysan retardé de la vallée de Suse :
RépondreSupprimer"C'est chaud, t' sais, si c' TAV enquille Susa !
Après avoir beaucoup pleuré sur son banc, Othello s'essuya le visage à la tombée de la nuit et se leva, mâchoires serrées, minable mais déterminé à aller assassiner Desdémone, son épouse qu'il croyait infidèle :
RépondreSupprimerLes joues sèches (ksss !), il s'avançait, gueux, le soir…
De récentes découvertes archéologiques prouvent que l'ange Gabriel était indubitablement d'origine bavaroise.
RépondreSupprimerMarie lui demanda sur quel type d'hommes elle devait jeter son dévolu, rapport à l'éducation de son futur fiston :
"Les Joseph, sista !", vantait le Souabe…
Après une traversée de cauchemar, qui le ramenait de Normandie vers sa patrie chérie, Lech, sitôt gagné la passerelle de ce paquebot maudit qui faillit l'engloutir avec lui, s'empare d'un téléphone et appelle sa femme, pour la rassurer :
RépondreSupprimerLech, aux exits :
" C't'Havre-Gdansk... !
À c'soir ! "
Lech, en rût, ne se dépêchait pas de finir sa petite affaire avant d’arriver à Keys Swann, bravant ostensiblement cette région très conservatrice du Delaware, où de tels agissements demeuraient extrêmement mal vus :
RépondreSupprimerLech (chaud) s’excite, affronte Keys Swann.
En 1925, lors des répétitions de son opéra, Alban Berg fut effaré des premières propositions du metteur en scène, qui voulait murger le héros et couvrir la scène d'une vaste marquise :
RépondreSupprimer"Le Wozzeck ivre ? C't auvent ? Quel zoo, argh !"
Ton pote les brise d’une seule main, ces navires pour mômes. Tu ne pourrais en dire autant…
RépondreSupprimerLes sous-esquifs, Raf en casse, toi…
J'avais fumé un gros bédo sur le débarcadère et j'étais complètement dans les choux.
RépondreSupprimerMes amis me rassurèrent en attribuant le phénomène à la qualité du shit et au vent particulièrement violent :
"Les choux ? C'est c' kif ! T'as l' vent qui soûle, ah !"
Mon pote Joe se mit à suer de tous ses pores à la vue d'un extra-terrestre gluant qui déboula sans crier gare.
RépondreSupprimerMais je le rassurai aussitôt :
— Laisse, Joe, c'est qu' E.T., ça !
— Ah bon ? Quelle suée !…
Fin gourmet mais piètre pâtissier, je complimentai un jour le marmiton qui mettait la dernière main à une pièce montée :
RépondreSupprimer"Les choux exquis, enfant, quelle joie !"
J'adore les sports d'hiver : les descentes en ligne droite, la brise glacée qui vous fouette le visage, tout ça…
RépondreSupprimerLes schuss en ski : t'as c' vent… quelle joie !
Robert Shaw et toute sa famille avaient beau dénigrer en choeur ceux qu'ils rencontraient, personne autour d'eux ne leur accordait plus aucun crédit :
RépondreSupprimerLes Shaws lazzistes : un flanc que ça !
Était-ce l'influence d'un visionnage récent de " Bambi " ?
RépondreSupprimerToujours est-il que les chasseurs avaient la main qui tremble au moment de faire feu sur leur proie....
Leur chasse hésite : " ah ! c'faon que ça ! "
Je concoctais un remède de cheval pour soulager la gueule de bois maousse de mon ami A., tout en pestant in petto contre son ivrognerie chronique :
RépondreSupprimer"Lait chaud, ces six zestes… : Avale ! (Quel saoul, A. !)"
En 1998, Aimé Jacquet se vantait auprès de Laurent Blanc d'avoir sélectionné Zinedine Zidane, auteur de tous les buts :
RépondreSupprimer"Les shoots, c'est qu' Zidane, Laurent : quel choix !"
Lech Walesa présente à sa maîtresse son bouillonnant ami Gustave mais se fait aussitôt rabrouer :
RépondreSupprimer"L'est chaud, ce Gustave !", engueule Souad.
Ces femmes navajos (d'origine tsigane) n'entendaient épouser que des amateurs de félidés :
RépondreSupprimerLes squaws (ex-gypsies) n'en veulent qu'à chats.
Ces deux géologues avaient l'air pénétrés, au cours d'une discussion pourtant vibrante d'incompétence :
RépondreSupprimerLascaux, c'est gypse ?
- À fond : karst, ouais !
Mon ami portugais avait les plus grandes difficultés à dresser ce pur-sang fougueux :
RépondreSupprimer- Lasso, Zé ! glisse-t'y ?
- Ah ! veine que c'chval !
Certes, on devrait pouvoir éliminer librement tous les imbéciles du monde, mais alors, ce serait l'Anarchie, non ?
RépondreSupprimer- Lier sots exige...
- Un fond d'chaos, c' ça ?
Mary Anna Randolph Custis ayant adopté la méthode Ogino, elle demandait régulièrement à son général de mari quels soirs il envisageait de la pénétrer elle plutôt que le front sudiste :
RépondreSupprimer"Lee, chou sexy, tu fonces quel soir ?"
Les bambins s'apprêtaient à faire un bataille de polochons mais les parents exigèrent qu'ils se déshabillent un peu, pour ne pas risquer de déchirer de précieux vêtements :
RépondreSupprimer"Les gosses, hé ! qu'y s' tapent en caleçon !"
On ignore généralement que Hassan II décéda en réalité du chagrin que lui causait l'étrange folie de son fils Mohammed, qui ne rêvait que de convertir tout le Maroc à la religion soufi. Tous les jours, le blasphémateur harcelait son père :
RépondreSupprimer"Les jours soufi, Hassan, quelle joie !"
Pourquoi le maquis s'est-il principalement concentré au centre de la France, durant l'Occupation, pour accueillir ces ahuris de parachutistes venus d'Angleterre ?
RépondreSupprimerMais pour cette bonne raison :
Les Causses suffisent à planquer les zouaves !
Le majordome se sentit la gorge sèche lorsque son maître, le magnanime Lord T.Z., lui enjoignit d'éduquer les impétrants domestiques à la bonne franquette :
RépondreSupprimer"Les coacher, Sir T.Z., à franquette ?!
Soif…"
Les greffiers des casinos ont remarqué que ceux qui lâchent le plus d'oseille à la nuit tombée ne sont pas les droitiers :
RépondreSupprimerLes gauchers insistent à banquer le soir.
Quelle joie d'être enfin en liberté, pour ce couple de chimpanzés !
RépondreSupprimerCependant, les choses se gâtent au moment de trouver quelque paillasse pour s'étendre…
La guenon suggère d'aller dormir mais s'entend aussitôt répliquer :
"Aller s'coucher, sista ? Dans quel zoo, hein ?"
Fort de ses études d'ingénieur, le cantonnier du village se piquait d'édifier un système complexe de fossés pour fluidifier le drainage des eaux de pluie, mais ça foirait toujours, tout s'écroulait de chaque côté du chemin et les villageois avaient beau jeu de rigoler :
RépondreSupprimer"Les fossés : si savants… qu'ils choient !"
On s'étonnait que dans cette recette de foie aux haricots verts j'ajoute l'enveloppe fibreuse des fèves.
RépondreSupprimerLa raison en est pourtant toute simple :
Les cosses excitent à manger le foie !
Je veux bien que mon pote Joe se livre sur moi à des pratiques sexuelles assez hard, mais faut quand même pas que ça dure :
RépondreSupprimer"Hé, Joe ! C't Fist-fuck m'encule… Zou, hein !"
Katsuya Okada, le célèbre politicien japonais, n'est qu'un enfant de choeur face au vieux roublard Liu Chao Chi (toujours vivant, contrairement à ce qu'affirment les rumeurs) :
RépondreSupprimerLiu Chao, c'cacique, évince Katsuya.
Certains trouvaient même le parti ultra-catholique français trop conciliant, aux temps des guerres de religion :
RépondreSupprimerSalauds ces Guise, té ! Navrants cossards...
On ne pouvait qu'admirer la tendance profondément philosophique de notre ami, lorsqu'il tançait ses amis aristocrates, au sujet de leurs quotidiennes rodomontades culinaires :
Sa sauce, est-ce Sire ? Ta mangue est-ce toi ?
Le mistral leur ramenait en pleine face les émanations putrides que vous imaginez :
RépondreSupprimerLaide fosse septique : ah ! l' Vent, qu'c'est sale !
En arrivant à la clinique capillaire de Jérôme Cahuzac, le visiteur était aussitôt orienté vers un secrétaire, chargé de les installer en salle d'attente :
RépondreSupprimerLes chauves, c'est c'type ! (au fond, qu'assoit)
Apaisée de son torticolis du matin, épanouie, ruisselante sous la pluie, la belle Souad rentra chez son amant de Gdansk après une séance de massage au cabinet de Gustave — chaud lapin mais bon kiné :
RépondreSupprimer"Lech, oh, c'est… Si tu savais : quels soins !"
QU... Excusez-moi pour ce toc ! Qu... En tout cas les ventes du dernier épisode de dracula, qu... et de son célèbre héros chasseur de monstres décollent ! qu... :
RépondreSupprimerQu...Chaudes statistiques qu... qu'a Van q...Helsing ! Ah !
Souad n'avait rien contre une petite partie fine, de temps à autre, avec Lech, Gustave et d'autres étalons de son choix, qu'elle décorait de surnoms évocateurs :
RépondreSupprimerLes chauds "Zguège-visse" à fond cassent Souad.
Correction du précédent :
RépondreSupprimerIl fallait bien entendu lire " zguègues-visses ".
La balle au centre, George.
Les hooligans anglais se groupaient autour de lui, lorgnant son portefeuille après avoir dépouillé du leur les autres passants. Mais lui, goguenard, et provocant, leur souhaitait bon courage...
RépondreSupprimer- Let's hold next his !
- Have fun, Casuals !
Le regretté Pierre Mauroy accompagnant souvent le président Mitterrand dans ses longues marches, insistait sur le fait que la solidarité exemplaire - seule - permettait de les accomplir, avant d'exploser en de tonitruantes et exaltées démonstrations d'allégresse.
RépondreSupprimerLatché : haut ! ça exige ! Ah : Front ! Kiss ! Hourrah !
J'ignore comment l'ami Tony Gatlif est tombé sur ce fil de commentaires, mais toujours est-il qu'il m'a fait part du fait qu'il méprise profondément Hank et les Souabes, souvent évoqués ici-même et qu'il a bien connus :
RépondreSupprimerLatcho se rit d' ces caves, Hank et le Souabe.
La tension était palpable dans la salle de judo lorsque tu défias le champion du club au cours du tournoi annuel :
RépondreSupprimerL' dojo se hérisse : t'affrontais l'espoir !
Condamnés à la déportation, les compagnons de Babeuf se souviennent avec émotion de ce puissant tribun qu'était leur camarade :
RépondreSupprimerLes Égaux s'exilent… Babeuf, quelle voix !
Ce fils de tzigane est pourtant une crème d'enfant : allez savoir pourquoi il a cette fâcheuse tendance à ratonner certains Bavarois !
RépondreSupprimerGadjo, délice tapant quelques Souabes.
Le nouveau venu nous contait que ses maîtresses fondaient devant l'éclair de lubricité qui animait son regard sitôt franchi le seuil de la chambre d'hôtel, mais nous savions bien pour notre part que rien ne vaut la bonne vieille banquette arrière d'une bagnole :
RépondreSupprimerL'œil chaud ? C'est qu' s'il savait… : en caisse, ouah !
Contrairement à une idée répandue, l'entreprise Tafanel ne livre pas que des fûts de bière ou des caisses de sodas. Ils s'y connaissent aussi, par exemple, en sakés à base de cerises :
RépondreSupprimerLes cerises chaudes ? Tafanel sait !
N'ayant pas froid aux yeux, j'allais consulter mon ophtalmo pour lui demander si ce n'était pas risqué de poursuivre sur cette pente. Il me répliqua aussitôt qu'à persister ainsi je risquais l'aveuglement :
RépondreSupprimer"L'œil chaud ? Cécité à fond ! Quel souhait !…"
Parvenu au sommet du pouvoir, Walesa se piqua d'établir des plans d'urbanisme façon Le Corbusier mais son amante Souad s'inquiétait de leur tristesse désolante :
RépondreSupprimer"Lech, oh… ces cités suaves ont quelle joie ?"
Comme je m'apprêtais à saisir une part de l'appétissante tarte salée tout juste sortie du four, mon ami cuistot me mit en garde :
RépondreSupprimer"L'est chaude, cette quiche !
Tu tends quels doigts ?"
Contrairement à une idée répandue, l'entreprise Tafanel ne livre pas que des fûts de bière ou des caisses de sodas. Ils s'y connaissent aussi, par exemple, en sakés à base de cerises :
RépondreSupprimerLes chaudes cerises ? Tafanel sait !
(désolé, je m'étais emmêlé les pinceaux hier à 16 h 13)
On les a retrouvés en pleine orgie, au fond d’une grotte propriété de la compagne de Walesa : un homme mystérieux et ces dissimulatrices bien connues de nos services :
RépondreSupprimerLes fausses et ce type, à l’aven que Souad a.
L’homme avait beau être formellement un militant politique, c’est surtout la baston qui l’intéressait. Il disait ainsi publiquement défendre :
RépondreSupprimerles causes exquises à fond de castagne.
Si je comprends bien, tu refuses certains aliments et tu en as perdu d’autres ? Mais que diable allons-nous manger et boire si :
RépondreSupprimerLes sauges excitent, et avoine cassa.
Ah, ces grandes multinationales qui nous gouvernent ! Si vous voulez causer au pétrolier, allez voir le gars assis là-bas. Moi, je suis dans le militaire, le drone pour être plus précis ;
RépondreSupprimerEsso, c’est guiguite ! Harfang, qui est-ce ? Moi !
Quand sonna l’alarme, devant l’épouvantable naufrage qui s’annonçait, avec ses centaines de victimes probables, le vieux vétéran nord-américain ne put s’empêcher de relier, en imagination, ce maudit transatlantique New York-Le Havre, aux plus terribles images de la guerre du Vietnam :
RépondreSupprimerL’SOS !!!! Hiii ! c’t’Havre !!! (en Khê Sahn…)
Un peu lyrique tout de même, ce mot de l’ami P. m’intimant de ne pas aller m’excuser, pour l’heure, dans son pays, auprès de celui que j’avais offensé :
RépondreSupprimerLaisse aux exils l’affront qu’il reçoit...
J’étais en compagnie de Lech et de sa douce, ce soir-là, et qu’est-ce que nous avons pu boire !
RépondreSupprimerJ’enchaînais bière sur bière, envoyant Lech lech Hergé (les chercher, quoi !), et quand je demandais son avis à Souad, elle abondait dans mon sens :
- Lech, aux aqueux ! Sista ?
- À fond que re-soif !
L’ancien garde-chiourme ayant été littéralement acheté par nous, et se faisant le plus discret qui fût, à quoi servait donc qu’elle protestât de manière aussi véhémente contre sa présence ?
RépondreSupprimerL’Chaouch acquis s’terre : au fond qu’elle croasse !
Nous traquions notre victime, fort corpulente, dans les bois quand, soudain, nous aperçûmes une des chaussures qu’il avait abandonnées, probablement parce que celles-ci n’étant pas à sa taille, il avait dû les déchirer, purement et simplement :
RépondreSupprimerLa shoes est vide, c’tas-là fend quel poids !!
J’étais scandalisé. Mettez-vous à ma place : depuis des mois, la compagne de Lech insistait pour se procurer cette œuvre, à n’importe quel prix, et voilà que cette mégère s’en allait la proposer ailleurs ? Je n’hésitai pas à la menacer :
RépondreSupprimerLà, c’est chaud ! J’exige qu’a’vende qu’à Souad !
Devant l’état minable de ma pellicule, je me retournai, désemparé, vers Alban, mon ami photographe professionnel :
RépondreSupprimer- La tof est grise ! Alban, qu’est-ce, ça ?
Elle faisait des remarques vraiment pénibles, pleines d’un ressentiment à la Marine Le Pen. Je l’insultai, en lui faisant comprendre qu’il valait mieux qu’elle se tire à présent (au journal chof « Présent ») :
RépondreSupprimer- La chof aigrie ! C’te torve ! Allons : casse-toi !
Hé bien, cher Moine, quelle avalanche !
RépondreSupprimerPour ma part, je ne dispose pas de tout-à-l'égoût et il m'arrive de jeter des abats avariés dans les toilettes,
les fosses septiques happant quelques foies.
Ils ont une bonne tête, ces gitans anglophones qui font merveille dans les bals nocturnes :
RépondreSupprimerLes beaux gypsies savent danser le soir.
Je comprends, Georges. Cela me donne faim. Et d'ailleurs, les guerres d'à-peu-près, ou de religion, c’est bien joli. Mais est-ce que ça nourrit son homme ?
RépondreSupprimerLes zozos, ces Guise, té ! Offrant caisses d’oie ?
Les Juifs s'étaient libérés du joug de Pharaon mais ne savaient quel monarque se choisir :
RépondreSupprimerL'exode d'Égypte attend quel roi ?
Quelle merveille d’innocence, cette petite fille allemande ! s’extasiant devant de vulgaires pigeons, en demandant avec ses mots à elle si c’étaient des oiseaux de paradis, comme aperçus dans son beau livre d’images :
RépondreSupprimerLes « zozios » (Else dixit !) « avons quetzal » ?
À l'heure de la fermeture, le barman refusa d'offrir sa tournée de bières aux clients qui avaient bu à crédit toute la soirée :
RépondreSupprimer"Les chopes, c'est qu' si t'as banqué le soir !"
Souad appréciait, au moment suprême, de sentir quelques irrégularités et rugosités dessus le membre viril qui la pénétrait. Gageons alors que son mari, Lech, devait avoir d’autres qualités…
RépondreSupprimerLech aho ! sexe lisse ! navrante queue, ça !
Le chien de Hank avait pourtant une urgente envie de sortir, mais hélas ! son maître venait juste d’avoir une visite, ce dont le toutou se plaignait :
RépondreSupprimerEst-ce : « no exit » ? Ouaf ! Hank reçoit !
On ignore souvent que c'est d'abord à Adam que le serpent offrit de croquer le fruit défendu, et que le premier homme refusa. Frustré, le serpent s'enivra et se tourna vers Ève :
RépondreSupprimer"La pomme, Ève ! (hips !) Adam me déçoit…"
On se demande quelles muses inspirent les disc-jockeys quand ça commence à vraiment chauffer dans la salle :
RépondreSupprimerLes chauds D. J.'s entendent quelles voix ?
Je ne crois pas à la spéculation sur le long terme, concernant ce matériau-là. Tu devrais te dépêcher d'écouler tes stocks, ça vous ferait de la maille, à toi et à Lech :
RépondreSupprimerLes hausses de ce gypse, tatata ! Vends, encaisse, Souad !
Je te promets que sur cette montagne, il fait froid, surtout le soir. Tu devrais donc sérieusement préparer la garde-robe adéquate, si tu décides de t’y rendre :
RépondreSupprimerLa-haut, c’est gggg… si si ! Taffetas ? et l’vent qu’il y a , le soir ?
Dans sa jeunesse, David Bowie s'inquiétait de ce que sa langue acérée pût rompre le fragile tissu de la culotte de ses partenaires lorsqu'il s'activait dessus, mais elles l'encourageaient, au contraire :
RépondreSupprimer"Lèche, oh Ziggy ! Ça fend quelle soie ?"
Les carrières de plâtre réverbèrent généralement mal la voix, la pierre étant trop molle, mais la chose se produit parfois :
RépondreSupprimerL'écho des gypses s'entend quelquefois.
C’est le modèle « baiser qui tue », ta voiture, c’est bien cela ? Et tu l’as customisée avec le diable et l’enfer, en toile de fond ? Superbe !
RépondreSupprimer« Hell shows » écrit, sur ta « One kiss », soit ?
Lee van Cleef ne comprenant pas que Steve McQueen puisse se faire si aisément obéir dans une célèbre série TV, on dut lui expliquer :
RépondreSupprimer"Lee, Joss exige au nom d' la loi !"
Nous étions déjà attablés au bar, à prendre les commandes :
RépondreSupprimerLes Suze-cassis, toi ? Erwann, qu’est-ce : kawa ?
C'est bon, les chips, mais il ne faut pas en abuser : ça peut abîmer les dents et même les cordes vocales :
RépondreSupprimerLes chocs des chips cassent dents et voix.
Un compère des frères Dalton, qui leur amenait un plan de braquage, ne leur inspirait pas confiance. Averell exprima ses doutes :
RépondreSupprimerLaï-laï, Joe ! Cézigue avance quels sous, hein ?
Mon ami végétarien me vantait avec enthousiasme les vertus des céréales :
RépondreSupprimer"L'épeautre et l' mil, c'est bon : quelle joie !"
Boire une seule bière par 40 degrés rendrait maussade n’importe qui, alors imaginez !
RépondreSupprimerL’air chaud l’aigrit, c’t’have Hank, qu’est soûlard…
Au cours d'une discussion à propos de fringues, un copain me vanta certain pantalon soi-disant de marque qu'on lui avait décrit mais rien qu'à l'entendre je m'empressai de le détromper :
RépondreSupprimer"L'est faux, ce jean's ! T'attends de le voir ?"
Je m'inquiétais auprès de mes collègues de l'incroyable capacité urinaire du patron, à faire froid dans le dos :
RépondreSupprimer"Le boss, y pisse à flanquer le froid !"
Contrairement à une idée répandue, les babas-cools ne répugnaient pas toujours à la bagarre, surtout les plus mignons,
RépondreSupprimerles beaux hippies s' battant quelquefois.
Cet épicier avait un système de rangement très particulier. Ses marchandises étaient indexées sur les rayonnages selon un système manuel : "Index 1", "Majeur 2", etc.
RépondreSupprimerLorsqu'un bambin venait acheter des poudres particulièrement relevées, il demandait :
"Les chauds épices, enfant ? Quel doigt ?"
Désireux de me convertir à l'Islam, j'hésitais cependant entre plusieurs sectes. L'imam fut catégorique :
RépondreSupprimer"Les salafistes, enfin ! Quel choix !"
Au moment du rachat de L'Aurore, Marcel Dassault se plaignait au futur empereur de la presse française de la réelle lâcheté des journalistes les plus vindicatifs en apparence :
RépondreSupprimer"Les polémistes, Hersant… Quels couards !"
Une pénurie de lait à l’échelle mondiale n’est désormais plus considérée comme une hypothèse absurde par les économistes :
RépondreSupprimerLactose : et si, d’avance, crisait ? hein ?
Marx fut écœuré lorsque Engels lui rapporta que les hégéliens pris à partie dans La Sainte Famille et ulcérés de cette attaque invoquaient sans cesse leur maître :
RépondreSupprimer"Les choqués citent à fond Hegel ? Pouah !"
Bizarrement, on s'étonne souvent d'apprendre que José Marti, dans sa prime jeunesse, était un fervent lecteur du collaborateur de Karl Marx (même si cela explique en partie la suite de son existence) :
RépondreSupprimer"Le José, disciple enfant d'Engels ? Ouah !"
L'accident fut évité de peu. Ce camion s'était littéralement jeté sur nos amies :
RépondreSupprimerles zouzes esquivent un van casse-doigts.
On sait que sur les questions cléricales, Ret Marut n'avait pas la langue dans sa poche :
RépondreSupprimer" Lâcheuse Église ! " Traven cassa.
J'interrogeai un médiéviste bien connu sur les mouvements de population à travers toute la France :
RépondreSupprimer" Aux Causses (ex-gîte), l'Arverne crécha ? "
Cette araignée-loup tue ses proies à l'aide d'un venin qu'elle sécrète, non ?
RépondreSupprimerLycoses aiguisent dard (au ventre), qu'elles sortent, 'as ?
Certaines pratiques homosexuelles extrêmes ne sont pas à la portée de tout le monde. Mais enfin, si cela te tente... :
RépondreSupprimerÉchoues-y (fist)... À fond : quel souhait !
Debord aimait toute l'Asie du Sud-est. C'est dire l'état de son rapport au Laos...
RépondreSupprimerL'Laos et Guy, c't'à l'avenant que ça !
Cet enfant a peut-être soif de savoir étymologique, mais enfin il commence à m'agacer avec ses questions incessantes :
RépondreSupprimer" Névrose ", est-ce scythe ?
" Affres " en quechua ?
Le pauvre Armand est à l'hosto, rongé par une maladie qui le couvre d'ulcères dégueulasses, tu peux le croire ?
RépondreSupprimerNécroses et kystes, Armand !
T'crois ça ?
Quelle est cette arme étrange avec laquelle il l'a ainsi massacré ? À base de fruits, dis-tu ?
RépondreSupprimerIl l'explose ! Qu'ça gicle ! Armes en quetsche, ah ?
Écoute, je suis militant au Parti socialiste depuis vingt-cinq ans :
RépondreSupprimerLes roses " hérissent " ?
T'as le front d'croire ça ?
Un social-démocrate insistant sur cette revendication prolétarienne du strict respect patronal des temps de pause, on croit rêver !
RépondreSupprimer" Les pauses s'exigent " ?
Toi, vr'ment ? qu'est soc. ?
ah ! ah !
À l'époque des guerres catholico-protestantes, certains des principaux protagonistes de celles-ci constituaient de véritables bandes de délinquants organisés, et spécialisés. Certains détroussaient, pendant que d'autres se prostituaient sans vergogne :
RépondreSupprimer"- L'larf, oh ! C'est Guise !
- Taffe ! Encule-ça !"
Ah là, là, cher Moine, ça en vient à me faire relever la nuit, cette chaude sexiste affaire-là !
RépondreSupprimerAllez, je vous propose qu'on s'arrête à 202 commentaires, puisque deux d'entre eux ne comptent pas, et puis on tente d'un commun accord d'en extraire un florilège.
D'accord ?
L'assassin du régicide regrettait amèrement son acte mais ses comparses s'employaient à le réconforter :
"Les causes expliquent qu' t'as vengé le roi !"
Les prétendus intellos du F.N. s'étonnaient de ce que les gros bras du service d'ordre eussent été les seuls à pouvoir évoquer un glorieux passé contre-révolutionnaire :
RépondreSupprimer"Le S.O. seul citait la Vendée, les Chouans, ah…"
Celui-là qu'on savait timoré se mit d'un coup à sortir de ses gonds, non sans provoquer un sacré bordel :
RépondreSupprimer— L'ex-chochotte s'excite…
— Ah bon ? Quel souk !
Lech se trouvait trop maigre, au point de n'accepter de dévoiler ses charmes que dans l'intimité, pour sa chère et tendre :
RépondreSupprimerLech - os ! - s'exhibe à fond qu'à Souad.
L'un des plus grands généraux de la jeune République n'en était pas pour autant un brillant géographe :
RépondreSupprimerHoche, aux ex-scythes :
" Larbins crétois ! "
Je ne comprends pas comment tu entends au juste te servir de cet ustensile de cuisine :
RépondreSupprimerLouche creuse, ici ?
Touillant comme ça ?
Lech adorait les films où jouait Judy Garland. Sur les chantiers navals de Gdansk, il poussait ses camarades en lutte à n'en passer, en vidéo, ne fût-ce que les extraits les plus courts :
RépondreSupprimer" C'est beau, Oz (et c'te zique !). Envoies-en qu'ça..."
" La chaleur des voyous, qu'elle soit nôtre ! " hurlait Souad avec lyrisme.
RépondreSupprimerLech, ne perdant pas le Nord, l'incita aussitôt, ainsi que Hank, le bon copain de service, à la sodomie.
Tout cela en anglais, bien sûr.
" Let's owe thug's heat !
- Have Hank's hole, Souad ! "
Li Chao, très calme, quoique sa religion extrême-orientale le portât pour ainsi dire aux transes, se moquait des convenances, et allait par les rues quasi-nu :
RépondreSupprimerLi Chao, zen (et que ça hisse), t'brave en caleçon, ouah !
" Tu ne t'intéresses donc qu'aux grosses bagnoles et au trafic de drogue ? " lançait Souad, moqueuse, à son fils. Lech l'encourageait à se foutre sa gueule :
RépondreSupprimer" Mercos et biz, té ! Vanne encore, Souad ! "
Souad, dévorant des yeux le membre de Hank, insistait auprès de son mari pour qu'ils le ramenassent tous deux au logis, insistant - pariant même là-dessus deux dizaines d'euros - que tous les deux, étant donné la bisexualité à tendance passive de Hank, ils y trouveraient leur compte :
RépondreSupprimer" Lech, faut ce zguègue-ci, t'vois ? Ah ! Vingt qu'il r'çoit ! "
Les films d'horreur à la "Saw ", ça me fatigue...
RépondreSupprimerTu dis pourtant qu'ils sont retournés plusieurs fois au cinéma voir ces horreurs ?
Les "Saw", qu'ça gicle ! Ah ? z'vont quatre soirs ?