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jeudi 25 janvier 2024

Se faire Robinson…


— L'eusses-tu crue, Zoé, toute cette saloperie qui nous déboule sur la tronche à cause du capitalocène, et devoir apprendre à se démerder tout à trac seuls comme des naufragés  ?

Daniel, de faux y'en a pas dans ce que tu m'assènes, mais ça vaut tout de même mieux que celle de la camarde, non ?
 
— Mouaif…
Wesh… bah alors comme disait Nicole Kidman à la fin de l'ultime Kubrick, Let's fuck !
 
— Enfin une idée intelligente !
 

11 commentaires:

  1. Version sans Jésus, mais avec le Ciel ; surtout avec de bonnes questions de Bobby Solo :
    « Sarò curioso, un po' indiscreto, dimmi cosa fai ?
    E come passi i lunghi giorni tuoi ?
    Come vedi il mondo dagli occhiali che tu hai ?
    Tu lo sogni ancor com'eran i tempi tuoi ? »
    Ce n'est pas parce que les post-modernes pensent comme si l'Histoire commençait avec leur naissance qu'il faut croire qu'elle finira avec notre mort.

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  2. Bonjour à toi, schizo, et merci pour cette découverte (gaspe ! question Boby, j'étais plutôt à la pointe…), c'est de la balle et that's all, folk !

    L'Histoire ne finira évidemment jamais, mais elle commence avec un[e] grand[e] hache.

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  3. Tout de même, dans la version Paul & Art je kiffe bien le vers dont la traduc' française donne :
    « Je suce, t'aimes plus que ce que tu crois »
    (pas trop orthodoxe, à bien y songer…)

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    1. Elle me gavait tellement, minot, cette scie musicale pluri-quotidienne sur les radios que j'appelais ses duettistes Pipo et Mario.

      Je n'ai d'ailleurs jamais vu le film. Rassure-moi, il la saute la solitaire, hein ! et c'est son dépucelage, non ? Happy end win-win seventies.

      Imaginons une version matriarcale ou win-win anti-binaire, happy-end début du siècle.

      Le pitch : Après cette nuit inaugurale, sœur Robinson profita du fiasco ultérieur du lauréat pour le changer en Tootsie en lui faisant prendre de l'Androcure pour du Viagra.

      Coocoo kedoo, Mr Benjamin. Wow wow.

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    2. Coucou, skizo…

      Moi c'est Hotel California que j'ai fini par deagueulzer, tant ça passait en boucle insupportable sur les quatre stations disponibles à l'époque.

      Je te rassure illico : pas de sexe chez Mike Nichols (sauf s'il est transgressif, évidemment) et je ne compte rien divulgâcher mais je te recommande chaudardement ce film — et plus encore l'hallucinant Qui a peur de Virginia Woolf ?, du même.

      En tout cas, concernant Le Lauréat, le mieux est de se replonger dans le niveau 3 de la partie XXI de ce monumental chef d'œuvre qu'est Le Dossier M de Grégoire Bouillier…

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    3. Indeed, George. Who's afraid of the big... Bourbon, 26e min :

      « – J'ai lu que la science fiction ne serait pas du tout de la fiction. Que vous, les biologistes, réarrangeraient les gènes de telle manière que tout le monde se ressembleraient. Je suppose qu'il n'y aurait plus de musique, ni de peinture ; mais que nous aurions une civilisation faite de jeunes gens sublimes tout à fait comme vous. Que les cultures et les races disparaîtraient, que les fourmis auraient pris le pouvoir sur le monde.
      – Vous ne connaissez pas grand-chose à la science.
      – Mais je connais un peu l'histoire. »

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    4. Touché, Schizo, même si le zozo ne dirige pas l'UFR d'Histoire !
      (Mais ta femme est un peu étroite du bassin, n'est-ce pas ?)

      Quel génie, ce Burton, et Liz Taylor (alors divorcés ou remariés pour la je sais pas combientième fois …) !

      Incidemment (comme dans la fameuse tragi-comédie de Corneille…) c'est en rapport avec ce film que je me suis pris dans la gueule l'outrageante outrecuidance de cette pétasse de Sophie Marceau (bah ouais, on descend très bas par rapport à la Taylor, désolé !)

      Je projetais tous les samedis soirs ce film au Studio des Ursulines à 21 h, tout seul comme un grand, on était assuré de remplir la salle d'au minimum trente à quarante spectateurices vu que c'était un must pour tous les apprentis comédiens, et v'là-t-y pas qu'un soir une furie déboule dans le hall vingt minutes après que j'avais lancé le film (à l'heure prévue) et se met à m'injurier parce qu'on avait osé démarrer sans elle !

      Cette conne ahurissante me balance un billet de cinquante francs à la gueule et fonce dans la salle.
      J'étais tellement estomaqué que j'ai mis quelque temps à réaliser qu'il s'agissait de la pouffiasse en question…

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  4. Et à propos de Jésus et de hache, je sais plus d'où sort le juron « Jésus Hache Christ ! »

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  5. Pourquoi Daniel considère-t-il qu'il vaut mieux affronter la "saloperie" du capitalocène que la mort ? Telkom University

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    1. Je te conseille la lecture du "Livre de Daniel", cher robot si joliment randonommé "Quand c' puceau t'a ongulé", tu pourras y quérir bien des nourritures à satiété (du spectacle) !

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  6. Parce que c'est un prophète qui a prédit que le capitalocène est une saloperie de la mort.
    Idem que toi, salopard de Kampus Swasta Enculé de GPT !

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