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dimanche 8 septembre 2019

Un scopitone qui dépasse les meilleurs clips de Mondino !



David McWilliams : Days of Pearly Spencer

4 commentaires:

  1. Ouaiiiis ! Tout ma reconnaissance Georgie.
    Cette bluette me ramène à mon enfance et à ses grèves de l'ORTF. Je savais même plus qui chantait ça. Quant au scopitone, encore un truc qui a dû coûter 4 dollars 50.

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  2. Ben maintenant tu le sais, c'est marqué en haut de la vidéo.

    Et tu remarqueras que la raison de pourquoi dans ce scopitone le chanteur est filmé en train de téléphoner, c'est à cause que le refrain qu'il chante lui-même gaillardement au bord du fleuve en grattant des riffs sonne comme dans un écouteur de téléphone en bakélite.

    Mais pourquoi 4 $ 50 ???

    Et comment pourrait-on acheter un scopitone, à quelque prix que ce soit ou fût ???

    C'était des machins qu'on voyait dans les bars, tout comme on écoutait du djuqueboxe, ça s'achetait pas (je t'ai pas tout dit, comme le chantait l'ami Boby à sa Doudou).

    Tu n'as pas l'intégrale de la collec' Dance for ever, dont je grappillais pour ma part les 45 T (après quoi j'ai chopé le coffret de 4 vinyles et puis les CD's) ? Quelle erreur !

    Mais quel rapport entre David Mc Williams et les rares grèves de l'ORTF ?

    Et puis c'est qui, Pearly Spencer ?

    Et à ce sujet, Does anybody here remember Vera Lynn ?

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  3. M'enfin, vous délirez, mon cher...
    Soit je m'exprime bien mal, soit vous cherchez dans la mauvaise direction.
    Il n'a jamais été question d'acheter un scopitone (au fait, merci pour la précision, on a l'âge d'avoir connu ces machines et on en a même fait une rubrique sur not' blogue).
    Il était évidemment question de ce qu'avait dû coûter à tourner ce film fauché.
    Écoute attentivement les paroles et tu pigeras que Pearly spencer est un clodo.
    Quant aux grèves de l'ORTF, pas si rares, c'était l'occase d'entendre de la pop, comme on disait alors, en continu sur les ondes nationales, dont cette chanson de Mc Williams dont la fiche Wiki affirme que "sans être proche de l'IRA (qu'est ce qu'ils en savent ?) il préférait être qualifié d'Irlandais que de Britannique". Ça donne une idée assez précise de son quartier de résidence à Belfast.
    Quant à Dance for ever, oui, j'ai eu les 4 vyniles en promo au prisu de ma sous-préfecture. J'ai arrêté après ça.
    Schüss.

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  4. T'as arrêté après la sous-préfecture, ça veut dire que tu n'es pas descendu en-dessous ?

    Merci pour tes éclaircissements, en tout cas, du coup je m'en vas relire les mémoires d'Emmett Grogan et puis tiens, "L'organisation" de Jean Rolin !

    Et réécouter toute la nuit ce coffret de quatre vinyles dans le vent, évidemment…

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