
La caque sent le hareng — et pourtant pas la lotte, même rebeu.
Voici quelques mois, j'avais ressassé une ancienne manie brusquement remontée à la surface (anamnèse, disait-on jadis), ici.
Via de labyrinthiques méandres, on s'est retrouvé à réchauffer les plats ici, puis là et là, et c'est pas fini, ça part dans les palindromes à présent…
Ça sent l'éternité, qui n'est qu'une infamie.
Ou plutôt : L'éternité sent l'infamie.
Eternité : anagramme d'étreinte, comme chacun sait.
RépondreSupprimerEn revanche, pour "L'éternité sent l'infamie", je me demande s'il n'y a pas anguille sous roche.
Je remarque que vous enclenchez sur le vocabulaire poissonnier — qui n'est pas forcément le plus vert…
RépondreSupprimerEn fouillant un peu, j'ai trouvé L'homme imaginantd'Henri Laborit. En train de le lire.
RépondreSupprimerEt puis ça.
Beaucoup de 10/18 empilés chez moi, mais la plupart sont des polars historiques ou autres dérivés, rien de bien palpitant.
Je vois que tout le monde s'y met...
RépondreSupprimerDites, William, votre édition 10/18 du Dictionnaire des injures, c'est le texte intégral ? Parce que dans mon édition Tchou, c'est quand même un assez épais volume…
RépondreSupprimerCelui-ci est assez épais, mais je crois qu'un deuxième volume est sorti ou devait sortir (pas trouvé de trace), d'ailleurs ce n'est pas un hasard pour la disposition de la couverture, à mon avis.
RépondreSupprimerPas annoncé en tout cas sur cette page du catalogue. Mais 512 pages, ce doit être complet.
RépondreSupprimerChristophe, je vous assure n'avoir eu nulle malice en tête. Tout ce que je trouve, c'est l'absurde :
Laid termite et sans lymphe, Annie.