Une intéressante et récente publication du Comité invincible sans nul caractère zoophile, quoi qu'il puisse sembler aux esprits pervers
Brève chronique d'un rangement de bibliothèque
Il y a 1 heure
« L'essentiel est toujours menacé par l'insignifiant »
René Char
« The road of excess leads to the palace of wisdom »
William Blake
Alexandre Marius Jacob
Arcane 17, une myriade de documents surréalistes
archyves.net
Atelier de création libertaire
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Basse Intensité, des nouvelles de l'anti-monde
Bibliothèque libertaire
Le blog d'un odieux connard
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In girum imus nocte…
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Tal Zana (et talino.org)
The International Dada Archive
Ubuweb
Witold Gombrowicz
Zones subversives - Chroniques critiques
« Une intéressante et récente publication du Comité invincible », invincible ? vous êtes sûr ?
RépondreSupprimerVous savez, Franck, on n'est sûr de rien, de nos jours.
RépondreSupprimerPas grave, suffit de siroter un milquechèque devant la télé en regardant Trente millions d'amis..
Le Tenancier se demande s'il ne préfère pas les publications zoophiles, surtout si elles comportent des images.
RépondreSupprimerComment, George, vous n'êtes pas fan de Mabrouk le clébard mascotte des après-midi pavillonnaires ? Nous vous plaignons...
"Si un connard de clébard y arrive, alors moi aussi je peux le faire"
RépondreSupprimerCitation (de mémoire) de Robert Mitchum à propos de RinTin Tin, autre mascotte télévisuelle.
Rien à voir avec le billet de George (la logorrhée ça va 5 mn, hein...) mais pour poursuivre avec Bob, un truc sorti du bouquin de Guérif : « [...] Nous avons donc tourné un bout d'essai, avec Buzz (Burgess) Meredith. A la fin de la scène, il y eut un long silence. J'attendais que quelqu'un crie : "Coupez !" J'ai fini par jeter un coup d’œil, et ils étaient tous debout, en train de pleurer derrière la caméra. Voilà comment ça s'est passé. Je pense qu'ils étaient ébahis parce que je me souvenais de mon texte. Cela a toujours fait partie de mon charme depuis. »
RépondreSupprimerS'il n'y avait eu que ce charme-là, chez lui...
Oui, il avait beaucoup de charmes, ce être-là peu plié dégarni de chaînes à qui je ne me serais pas risqué à dire : "Bois l'eau !"
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