Les bibliothèques, faut les faire sur mesure, et avec du bois (dont on tire d'ailleurs, incidemment, le papier dont on fait les livres).
Mais il faut d'abord décider du classement, qui définira d'entrée le format des inter-étagères…
Bref, c'est du boulot (pas le bois de bouleau, vaut mieux du costaud), sans compter qu'après il faut bien lire tout cela si chèrement assemblé !
Comme quoi on peut ranger plein de merveilles entre deux morceaux de bois d'arbre.
RépondreSupprimerLe Pigeon récalcitrant, c'est le premier Westlake que j'aie lu - dans l'édition ici présentée - et ça nous rajeunit pas.
Juan Rulfo, Darien, le Jan Valtin avec Manchette qui traîne là... Nous faîtes-vous une variante du jeu "cherchez l'intrus" ? Je parie qu'on en aurait tous un différent.
RépondreSupprimerAh, et mort à Ikea !
La première chose que j'ai faite en voyant ces belles photos (c'est toujours beau, hein, tous ces livres), c'est de chercher The Far Cry... et bien sûr, je l'ai trouvé !
RépondreSupprimerBravo, Florence, d'autant que l'édition qu'on aperçoit ici en 10/18, sous couverture Slocombe, n'est plus disponible. J'ai les quatre successivement parues en France grâce à Guérif : chez PAC / Red Label, chez Clancier Guénaud, ce 10/18 et naturellement la dernière, chez Rivages, dans la traduction revisitée au sujet de laquelle une intéressante discussion avait eu lieu jadis dans un blogue vaporisé depuis (voir aussi ici)…
RépondreSupprimerMais toujours pas l'édition originale, hélas !
Pas d'intrus pour moi, Jules, évidemment, mais sûrement pour d'autres, heureusement !
Aucun souvenir du Pigeon, M'sieu Pop, et tant mieux : je vais pouvoir me le retaper à l'aise !
Mon premier à moi, ce fut Un jumeau singulier, chez Fayard Noir, qui suscita mon premier fou-rire de lecteur ("Je vais prendre une petite douche"…)
Au-dessus du marteau, sur la droite, ce n'est pas une couverture d'un Jim Harrison ? Pour le reste, je me suis fait un torticolis, merci!
RépondreSupprimerAu moins, dans les biblios, on constate que vous en connaissez un rayon.
Ça s'passe en Italie, Le Pigeon, du moins dans ma mémoire. Je vais p't'être le relire, du coup.
RépondreSupprimerOui, c'est bien Harrison, m'sieur Julius (vous pouvez agrandir les clichés weaveriens).
Un bon jour pour mourir, cher Julius, une pure merveille, comme tous — mais cela va sans dire…
RépondreSupprimerEt bravo pour le coup d'œil, Msieu Pop !
En Italie ? Ça me dit queude, p'têt que l'ai jamais lu, en fin de compte !
Mais aucun rapport avec le film de Dino Risi, j'imagine…
Monicelli, pas Risi, cher George...
RépondreSupprimerMmh, pas trop sûr, pour l'Italie. Je me suis sans doute emmêlé les pinceaux. D'ailleurs, Le Pigeon récalcitrant, c'est Divine Providence chez Rivages. Mmh.
RépondreSupprimerAh oui, l'oncle Matt !
RépondreSupprimerMais un qui se passe en Italie, je ne vois toujours pas : j'ai pensé un moment au couple qui monte une arnaque à l'assurance-vie mais vérification faite, ça se passe en Amérique du Sud…
Désolé pour la confusion, Florence, j'ai confondu avec Il sorpassso, comme souvent !
Bah, y a pas de mal, la confusion est aisée entre les noms de tous ces chers réalisateurs en "i" !
RépondreSupprimerBah, je crois que c'est surtout à cause de la présence de Vittorio Gassman dans les deux films, de tonalité pourtant très dissemblable !
RépondreSupprimerJe suis vraiment désolé George, et désemparé, parce que je n'arrive pas à comprendre ce phénomène : je ne suis pas informé sur ma boîte mail de tes commentaires ! Et moi qui pensais à toi dernièrement en me disant que tu te faisais rare par ici ! Reçois toutes mes excuses et merci pour ton commentaire qui me fais plaisir, car je vois que je ne suis pas le seul à avoir été profondément marqué par ce film. Avec moins d'enthousiasme que toi cependant, il me reste encore pas mal d'Antonioni à voir...
RépondreSupprimerTon commentaire me fait plaisir, bien sûr.
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