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mardi 27 août 2019
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Ils avaient le même coiffeur.
RépondreSupprimerFunny, funny…
RépondreSupprimerÇa me rappelle la blague dynamique où l'extrême-droite qui vient d'accéder au pouvoir décide illico de faire exterminer tous les juifs et tous les coiffeurs.
Sinon, tu creuses toujours ?
Ah bon ! Mais pourquoi les coiffeurs?
RépondreSupprimerChers nuages, saviez-vous que Bernard Lavilliers avait pompé sans vergogne Joyce Mansour ?
RépondreSupprimerJimmy Gladiator avait concocté un petit dossier à ce sujet jadis dans Hôtel Ouistiti (ou bien était-ce déjà Au libre olibrius ?)
Sinon, je vous saurais gré de retirer de votre blogue toutes ces photos de mon amoureuse sur votre billet intitulé "Le faire", merci d'avance.
C'est parfois long, 3'26".
RépondreSupprimerLes juifs et les coiffeurs ne m'ont jamais rien fait, mais puisqu'on avait la guillotine à l'époque, on aurait pu couper en deux le parolier et le compositeur de cette œuvre pour prévenir la récidive (ceci étant, je sais pas s'ils ont récidivé, je sais pas qui c'était et je veux pas le savoir, non non).
Hello, M'sieu Pop, ravi de constater que vous errez encore dans ces parages, depuis plus de dix ans que nous ne sommes jamais secoué les mains ni n'avons bu un verre ensemble, hélas !
RépondreSupprimerPour faire bref et sans vouloir couper les cheveux en quatre mais en présentant un joli décolleté:
Pars au lit, hé !
(qu'on pose eater*
* Ça pourrait signifier "goinfre", en angliche.
♬♪ Prince, prenez soin de la douce Ysabeau ♪♬…
"que nous ne NOUS sommes", ce sur quoi je vais piquer une méridienne !
RépondreSupprimer"J'ai compris ce soir que ton passé est bien mort", c'est quand même archi-barré, non ?
RépondreSupprimerMais en cette époque où il n'y avait pas la FM (sauf pour France Culture et France Musique et l'armée française) et donc seulement quatre stations de radio disponibles, sur la fréquence des grandes ondes (France-Inter, RTL, Europe 1 et RMC, plus la BBC il est vrai), n'importe qui pouvait tout se permettre, vu que n'importe quel nanar de variétoche était assuré d'être entendu par des millions d'auditeurs : même Claude François a su se faire adapter par Paul Anka et susurrer plus tard par Sinatra !
Vous souvenez-vous de Laurent Rossi, le fils de Tino ("J'aime j'aime j'aime quand tu m'aimes, Mandoline") ?
J'en passe et des meilleures.
Je viens de réécouter plus attentivement les paroles de cette mièvre bluette et je comprends du coup pourquoi elle m'a tant marqué à l"époque, vu le sous-texte et le non-dit, sans parler de l'entêtante mélodie : il s'agit d'un trio amoureux mais on n'y pige absolument queude.
RépondreSupprimerC'est comme chez Manset, en gros.
En fait, non, c'est vachement plus grossier que Manset (je parle de cette période-ci, par exemple).
RépondreSupprimerC'est juste que va savoir pourquoi,la meuf veut revenir baiser avec son nouvel amant sur les lieux de son précédent amour.
L'inverse de Capri, c'est fini, somme toute.