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samedi 14 septembre 2019

Philippe Pascal s'était teint et puis s'est éteint



Marc Seberg : L'éclaircie

« Le chanteur à la voix de sanglier », l'avait un jour surnommé un journaliste.

Pas juste, mais pas faux.

Mais Marquis de Sade, tout de même, bordel !
Marquis de Sade, foutre de chiotte de nom de dieu !

Qui s'en souvient, de ces deux foutus putains d'albums oscillant entre la cold-wave, le punk, l'expresssionnisme et je-ne-sais-quoi, une sorte de Joy Division française qui pétait tous les boulons et tous les caboulots ?

Et Marc Seberg, quoi qu'on en pensât, c'est de la balle.
De l'obus calibré mahousse, façon Grosse Bertha.

Mais moi c' que j'en dis, j' préfère Berlin 38, qu'avait fait à Rennes une première partie de Marquis diantre sait-on quand…

3 commentaires:

  1. Ah ben merde. Coïncidence.
    Z'auriez du Berlin 38, qu'on ne connaît pas?

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  2. Ah bah çà, je te croyais plus assidu, Jules !

    Y'a un libellé "Berlin 38" sur le présent blogue, j'avais tout balancé ici-même mais les crevards d'hébergeurs ont tout vaporisé depuis lors.

    Un beau vinyle est sorti l'an dernier et tu peux toujours aller picorer ici

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  3. Exact, c'était même en janvier 2014.
    On a donc quelques excuses à notre distraction, dear.

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