« Le chanteur à la voix de sanglier », l'avait un jour surnommé un journaliste.
Pas juste, mais pas faux.
Mais Marquis de Sade, tout de même, bordel !
Marquis de Sade, foutre de chiotte de nom de dieu !
Qui s'en souvient, de ces deux foutus putains d'albums oscillant entre la cold-wave, le punk, l'expresssionnisme et je-ne-sais-quoi, une sorte de Joy Division française qui pétait tous les boulons et tous les caboulots ?
Et Marc Seberg, quoi qu'on en pensât, c'est de la balle.
De l'obus calibré mahousse, façon Grosse Bertha.
Mais moi c' que j'en dis, j' préfère Berlin 38, qu'avait fait à Rennes une première partie de Marquis diantre sait-on quand…
Ah ben merde. Coïncidence.
RépondreSupprimerZ'auriez du Berlin 38, qu'on ne connaît pas?
Ah bah çà, je te croyais plus assidu, Jules !
RépondreSupprimerY'a un libellé "Berlin 38" sur le présent blogue, j'avais tout balancé ici-même mais les crevards d'hébergeurs ont tout vaporisé depuis lors.
Un beau vinyle est sorti l'an dernier et tu peux toujours aller picorer ici…
Exact, c'était même en janvier 2014.
RépondreSupprimerOn a donc quelques excuses à notre distraction, dear.