Bon allez, j'en ai marre d'écouter en boucle cet alboume alors je le balance ici puisque cet espace sert essentiellement de vide-poche ou de pensine (comme dirait Dumbledore) : un Au Bonheur des Dames
tardif (1988, quatorze ans après le premier), "Jour de fête", avec une affection particulière pour les morceaux 5, 7, 10 et 11 :
Un grand merci à John Warsen !
Vous m'avez grillé dear George.
RépondreSupprimerJe préparais un petit quelque chose sur ces mêmes galopins !
Merci pour l'album.
Jules
Mais faites donc, cher Jules : plus on est de fous plus on rit (quand on naît)…
RépondreSupprimerEst-ce que Vincent Malone, dont j'ai égoïstement offert quelques albums à mon fils parce que c'est rare que je ne pique pas un petit fou rire ou deux à leur écoute (pourtant je suis mauvais public et plutôt taciturne, mais le pipi-caca-cucul, que ce soit dans le Roman de Renart, chez Rabelais ou Apollinaire, je sais pas, ça m'a toujours libéré nerveusement...), bref, est-ce que Vincent Malone faisait partie d'Au bonheur des dames, je ne sais pas, une réminiscence vague. A moins que ce ne soit le groupe Odeur. Y a-t-il un lien entre ces deux groupes ?
RépondreSupprimerJe me souviens avoir écouté certaines de ces chansons (Notamment "Coucouche panier", sur les chiens et les chats à leur pépères et leur mémères) à me faire mal au ventre et à suffoquer de rire (au sens propre, rien à voir avec les expressions galvaudées "écroulé de rire" ou "mort de rire", c'est fou ce que mes contemporains rigolent... z'ont de la chance). Il faut dire qu'à l'époque je consommais, et c'avait été le cas en l'occurrence, de cette petite résine marron qu'on effrite dans le tabac. Mais quand même, merci rétrospectivement pour cette rigolade !
Et merci George de me permettre de me rendre compte prochainement, à l'écoute, si je suis toujours aussi sensible à cet humour.
De rien, cher Wrob.
RépondreSupprimerOn n'a jamais su vraiment, me semble-t-il, qui étaient les membres d'Au bonheur des dames, car les pseudos masquaient d'honnêtes bourgeois — chirurgiens, dentistes, avocats, que sais-je… — qui ne tenaient pas à perdre leur prestige social en révélant leur participation à un groupe aussi branque.
La seule chose avérée, c'est que lorsque le groupe s'est dissous une première fois à la fin des années 70, Ramon Pipin est parti fonder Odeurs, en effet, avec quelques uns des anciens d'ABDD.
Moi aussi ça me fait bien rigoler, en sus de leur indéniable talent musical, mais à cet humour-là (moi pas trop fort !) je préfère suprêmement celui de Pincemi et Pincemoi, nettement moins connus hélas !