En tombant un peu au pif sur cette chanson qui servait de B. O. à un feuilleton ayant pas mal marqué mes jeunes années, je m'aperçois, non sans un certain vertige, que c'est en grande partie à elle que je dois ma propension spontanée aux homophonies approximatives et à entendre souvent de traviole les propos tenus par mes interlocuteurs.
En effet, en raison de l'accent déroutant de Demis Roussos, je ne comprenais quasiment rien aux paroles de cette chanson, que je me souviens avoir désespérément essayé de transcrire.
Là où Cécile Aubry avait écrit : « Elle chante la vie » ou « Tu as le soleil sur ton épaule », j'entendais respectivement : « Elle, sortir d'la ville » et « Tu as le soleil sur ton Popaul » [j'ignorais à l'époque que ce dernier terme pût avoir un sens…], et le reste à l'avenant.
Quelque temps plus tard, Robert Fabre tentait de rapprocher Mitterrand et Marchais pour édifier l'Union de la Gauche.
Et bien des années après, je devins élève d'une prof. de sciences sociales qui était un peu le sosie de Véronique Jannot. Les « colles » en tête-à-tête me faisaient sacrément transpirer.
http://www.youtube.com/watch?v=qV69iLEa7D4
RépondreSupprimerC'était pour élever un peu le débat ; je viens de faire un tour sur le site concernant le referendum, que vous connaissez bien ; j'ai été étonnée du nombre de commentaires d'éclaireurs ou de scouts, ; les commentateurs, peu nombreux, vu leurs tics -tocs de langage , assez reconnaissables.
RépondreSupprimerMehdi, oui
V. Jeannot, oui
J. R. Caussimon
mais inconnus : Chapoulie, Bergman(enfin, Boris)
http://www.youtube.com/watch?v=mdyKz7LE1yg&feature=related
RépondreSupprimerMerci pour Trenet et Mano Solo, thé, mais je ne comprends pas trop, non plus que rien à cette histoire de site référendaire.
RépondreSupprimerPas question ici de causer de ma jeunesse ni d'abonder dans quelque auto-complaisance que ce soit : s'agissait juste narrer la possible genèse d'un bizarre handicap réel qui m'est propre et m'étonne souvent moi-même. Le Tenancier pourrait en témoigner, s'il est besoin.
Chapoulie était le nom de feue la prof. en question, naturellement, mais concernant Bergman, vous auriez pu trouver par vous-même.
Vous n'avez pas eu tort de surseoir aux agapes d'Article XI, hier soir, même malgré l'éloignement géographique : un rougail-saucisses aux knackis, c'est un peu comme ce que le rosé est au vin…
On est toujours sous la V°
RépondreSupprimerSinon, dans la famille Bergman, ne connais que les iiiiiiiiii
... ngmar et ngrid, d'accord, mais iiiiil n'y a pas qu'eux au guichet.
RépondreSupprimerAu guichet,
RépondreSupprimery a aussi la p'tite bleue
Alors là, je sèche : celle de la côte ouest ?
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=ivxS1y1L1IA
RépondreSupprimerMerci, thé : elle m'a aguiché, la p'tite bleue du 102.
RépondreSupprimerPuisque vous le dites
RépondreSupprimermoi, j'ai jamais dit
y en a qui sèchent
quand d'autres mouillent