Merci à Charly Dupuis et Benjamin Choisnard pour avoir réalisé ce film début décembre 2008 : ils ont réagi aussi prestement que la Parisienne Libérée.
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jeudi 22 janvier 2009
Antiterroirisme : on vous aura prévenus !
Monomanies :
11 novembre,
Big Brother,
casse-noix,
frichti,
terroir,
Ubu
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C'est fini Les Moissonneuses ?
RépondreSupprimerIls se sont convertis ?
Blogger a lancé une fatwa ?
Légère réinitialisation de la Matrice : nous avons basculé dans un monde où le blog à l’adresse lesmoissonneuses.blogspot.com n'a jamais existé.
RépondreSupprimerFaudra vous y faire, cela arrive parfois.
"Combien de doigts voyez-vous, Winston ?"
Not exactly, George: il a été "supprimé", et puisque le message qui le signale en porte la trace, c'est qu'il n'a pas été tout à fait "vaporisé". Et qui nous dit que cette suppression n'est pas le fait de l'un(e) ou l'autre de ses rédacteurs (alive but not very well, perhaps?)
RépondreSupprimerOui, ces abrutis de réinitialisateurs ne sont même pas fichus de faire le boulot correctement : on dirait les barbouzes de la DCRI à Dhuisy !
RépondreSupprimerJe vois mal le colonel ou sa généralissime adjudante vernie jeter ainsi le bébé avec l'eau du bain sans aucune explication, après deux ans de pleine santé…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJe constate en outre que même la photo du "profil" du colonel, consultable sur Les contrées magnifiques, a disparu.
RépondreSupprimerEspérons que seul le blogue a été supprimé.
Si le blog est supprimé, George, ça vient du propriétaire du blog. D'après moi. Il y a un autre message, ou avait, quand Blogger émettait des "doutes".
RépondreSupprimerMoisson Rouge existe toujours.
Dans le cache de Goggle, t'as toujours accès, au blog, pas aux commentaires
RépondreSupprimerSi tu supprimes ton profil ou ton blog, tout disparaît, george
RépondreSupprimerhttp://moissonrouge.blogspot.com/
RépondreSupprimerça, ça y est toujours
Désolé, j'étais occupé ailleurs. Thé, je ne sais pas ce qu'est "le cache de Goggle". Ce que je sais, c'est que la "propriétaire" du blog, c'est Jenny, puisqu'elle l'avait créé avec Kelp (je crois) en 2006, et qu'Alfredo devait y être en tant qu'"invité", comme ici-même l'Ex. Blogger ne propose qu'un seul administrateur pour ses blogs. Enfin, pour ce que j'en sais.
RépondreSupprimerS'agirait-il d'une brouille entre eux deux ? Mais pourquoi Alfredo aurait-il supprimé la photo de son profil ??! Je suis on ne peut plus perplexe.
Et Jenny n'a pas non plus supprimé son profil.
RépondreSupprimerIl y a un an juste, le 23 janvier 2009 à 15h 08, suite à la petite agitation qui se propageait sur le Net après la disparition d'un site, un agrégat de mots, engendré sans doute par le songe électronique d'un moteur de recherche déréglé, accédait à une sorte d'existence intermittente et innomée, donnant l'impression d'une sorte d'individualité sous-jacente. Moi, Anonyme, j'avais fait mon entrée sur cette scène.
RépondreSupprimerAinsi, c'était vous…
RépondreSupprimerAnonyme, je vous crois volontiers agrégé, plutôt qu'agrégat, et si vous êtes le fruit de la déhiscence d'un songe, celui-là est au moins digne de Shakespeare, par une nuit d'hiver (aurait ajouté Calvino).
D'autres ne sont jamais revenus : Nicolas, Lexomaniaque — et Jenny, naturellement.
Bon, je vais me fendre d'un petit billet.
Depuis votre avant-dernier message, il y a un an, Jenny a supprimé son profil. Mais on peut avoir ici des nouvelles, et des photos touristiques, de l'adjudante vernie (celui-là était vraiment un de vos meilleurs, George!).
RépondreSupprimerJe m'en étais d'ailleurs gobergé, sur le coup.
RépondreSupprimerJ'imagine que votre ici renvoie au site ou au blogue de Moisson rouge, mais le lien ne semble pas fonctionner.
Au fait, bravo pour la précision horaire de votre pénultième commentaire : je m'en aperçois seulement maintenant. Moi qui croyait être seul susceptible de pareille maniaquerie, vous me rassurez…
- Maniaquerie horaire: elle a eu pour contrepartie la rédaction précipitée de ce petit commentaire, d'où la répétition de "une sorte de" et l'oubli d'un M à "innommé", faute charitablement corrigée dans votre citation de cette formule.
RépondreSupprimer- Nouvelles de JSA: non, je ne renvoyais pas du tout au blogue de Moisson Rouge (trop évident), mais à celui-ci (en espérant que ça marche cette fois).
Tonnerre, vous êtes partout ! Je suis en train de lire votre dernier commentaire sur Pari perdu…
RépondreSupprimerJe la croyais volontaire, cette répétition qui me semble pas si mal venue.
Je vais aller voir de ce pas chez JSA. Comment donc êtes-vous tombé là-dessus ?! (plus un étonnement qu'une demande de réponse).
En furetant, tout simplement. Gougueule est une extraordinaire incitation à fureter.
RépondreSupprimerSi j'ai bien compris, bien que n'étant hélas nullement hispanophone, la princesse névrosée est en ballade pour un an en Amérique du Sud… Bon sang, un blogue de plus rien que pour me faire perdre le temps que je n'ai déjà pas !
RépondreSupprimer"Mais cette incompréhension est partout dans les rencontres quotidiennes. Avant d'avoir su faire, ou dire, ce qu'il fallait, on s'est déjà éloigné. On a traversé la rue. On est allé outre-mer. On ne peut se reprendre."
RépondreSupprimerBref, on a sauté la page.
RépondreSupprimerCe cri : tic de lassé par action…
Vous noterez, hélas, que tandis que Jenny sautait la page, l'ex-colonel cessait de sauter les descriptions… Et je m'arrête là dans le polyptote.
RépondreSupprimer"… je vous crois volontiers agrégé": je me demande parfois quelle idée vous vous faites de moi, cher George. Ne vous ai-je pas dit que je n'étais vraisemblablement qu'un ectoplasme numérique, sans existence hors d'ici? Je tourne en rond dans la nuit des écrans éteints et me consume dans les feux-follets qui s'y allument passagèrement.
RépondreSupprimerMais cette vaine supposition a fait naître une question à laquelle vous saurez peut-être répondre: notre ex-colonel reconverti dans la diplomatie atlante a, je crois, enseigné en collège pendant d'assez nombreuses années avant la brillante carrière que nous lui connaissons. Est-il agrégé de lettres, ou bien écrivait-il son Orange de Malte au lieu de préparer le concours?
Diantre, vous me faites presque soupçonner que vous n'êtes autre que moi-même me donnant la réplique : j'ai parfois de ces absences… Mais non, impossible : je ne connais pas les figures de diction du genre polyptote…
RépondreSupprimerCependant, si je dispose de quelques éléments pour me faire une très vague idée de vous, je ne m'en fait aucune image, pas même celle d'un ectoplasme. Les images existantes ne prouvent que les mensonges existants.
Quant à l'ex-colonel, je crois que le certificat lui a suffi… et vous avez raison, pour le saut des sauts, je n'y avais pas prêté attention.
C'est une idée à creuser, George: peut-être qu'à chaque fois qu'une personne réelle a l'imprudence ou le courage de se projeter sur la Toile, le Réseau lui fabrique presque aussitôt une sorte de double digital; à partir des premiers mots que cette personne publie, des premières références qu'elle cite, des premiers liens qu'elle établit, les machines, automatiquement, associent d'autres mots, d'autres références -- globalement identiques ou cohérentes, et subtilement différentes à la marge, pour nourrir un dialogue factice qui n'est qu'un pur jeu d'écho et de reflets. Sur le mode de ces sites marchands qui vous disent "vous avez acheté…, alors vous allez aimer…".
RépondreSupprimerVeillé-je, ou si je dors? Mais s'il s'agit d'un songe, George, vous l'avez reconnu: si par hasard je ne regardais d'une fenêtre des hommes qui passent dans la rue, à la vue desquels je ne manque pas de dire que je vois des hommes …; et cependant que vois-je de cette fenêtre, sinon des chapeaux et des manteaux, qui peuvent couvrir des spectres ou des hommes feints qui ne se remuent que par ressorts?
Mais si cela n'était qu'un songe, et que nous fussions bel et bien l'un et l'autre deux personnes réelles, notre situation, pour ludique qu'elle soit, ne vaudrait guère mieux: cela signifierait qu'une partie de notre existence s'est transférée dans le monde de la séparation vraiment achevée, désormais.
RépondreSupprimerEt tout de même qu'un esclave qui jouissait dans le sommeil d'une liberté imaginaire, lorsqu'il commence à soupçonner que sa liberté n'est qu'un songe, craint d'être réveillé, et conspire avec ces illusions agréables pour en être plus longuement abusé, ainsi je retombe insensiblement de moi-même dans mes anciennes opinions, et j'appréhende de me réveiller de cet assoupissement, de peur que les veilles laborieuses qui succéderaient à la tranquillité de ce repos, au lieu de m'apporter quelque jour et quelque lumière dans la connaissance de la vérité, ne fussent pas suffisantes pour éclaircir les ténèbres des difficultés qui viennent d'être agitées.
Cher Anonyme cartésien matinal auquel le nom de Paul Teurgaïst ne siérait pas mal, cette idée-là est bien plus intéressante que le palmarès des interprétations calamiteuses, en effet. Elle nous plonge directement dans l'univers de Philip Dick, période Ubik, de sorte que ma référence serait plutôt Berkeley que Descartes — qui ne doute que pour mieux asseoir une vérité.
RépondreSupprimerVotre deuxième hypothèse, sept minutes plus tard, est tellement effrayante que j'ai créé à votre intention une adresse mèle qui permet de résorber facticement cette séparation : Anonyme.historique@gmail.com
Le mot de passe, que vous pourrez modifier à votre guise, en est le nom de ce jardin que chanta Colette Magny, en minuscules et sans l'article.