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samedi 5 mars 2016

Les mondes de Philip K. Dick




Un documentaire de Yann Coquart rediffusé avant-hier sur ARTE, trente-quatre ans et un jour
après la disparition de ce génial écrivaillon, aussi agoraphobe qu'un de ses pairs — Jean-Patrick Manchette

8 commentaires:

  1. Merci, bonne camelote sur un sujet fascinant (l’œuvre et le mec, la gémellité, l'influence des souvenirs d'enfance, l'inadaptation au monde environnant, la vie chaotique, tout ça).
    J'avions bien aimé aussi l'émission de France Culture qui m'a accompagné un dimanche sur la petite route entre Reims à Bar-le-Duc et m'a durablement donné à cogiter.

    http://www.franceculture.fr/emissions/une-vie-une-oeuvre/philip-k-dick-de-la-mystification-la-psychose-des-realites-malmenees

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  2. Ce documentaire était génial, mais dans un monde différent. Dans celui-ci, c'est un rapport minoritaire (plat comme un adaptation de Spielberg)

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  3. Pas si mauvais, le Spielberg, à mon sens du moins, même s'il n'égale pas l'époustouflante adaptation par Paul Verhoeven de Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?

    Merci pour le rappel, M'sieu Pop !
    J'avions mis jadis cette émission en ligne ici mais on ne peut plus l'y ouïr.
    Comment donc avez-vous dégotté ce site d'archives ?

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  4. Ah mais grmbll ! je m'emmêle encore les pinceaux : les moutons, c'est Ridley Scott, et Verhoeven c'est la nouvelle Total Recall !

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  5. A propos du Spielberg, je m'étais permis de lier vos impressionnantes archives au petit post d'un amateur de catégorie B, n'ayant il est vrai jamais lu le maître.

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  6. Grouille, Wrob, le temps file ! Comme tu le ressentiras encore mieux à la lecture d'Ubik

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  7. Le Spielberg, n'est pas.. mauvais. Il est très loin du trio de tête, A Scanner Darkly, Blade Runner, et Total Recall, nonobstant.

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  8. Tu as raison, Laurent, même si je n'ai pas vu A Scanner Darkly : j'ai revu le Spielberg la semaine dernière et je trouve la fin très décevante, et puis trop de longueurs…

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