Telle est la question débile que pose pertinemment et en toute modestie David Turgeon sur cette intéressante page, où il se livre à un audacieux rapprochement entre les regrettés Schlingo et Chaland, desquels il redémontre, si besoin était, l'étrange et nouveau génie.
Autant Chaland que Schlingo travaillent à partir de leurs lectures, oui, mais en faisant revivre non pas la forme des aventures qu’ils ont lues mais des aspects a priori secondaires : onomatopées, acolytes, conventions, éléments de décor. Il s’agit autant de mettre en veilleuse les grands vecteurs du récit (que de toute manière nous connaissons par cœur) que de faire ressortir des objets banals dont nous n’avions jamais remarqué à quel point ils étaient obsédants, essentiels.
… je tourne le dos quelques jours, et voilà que vous en profitez pour rouvrir ce blogue! Content de vous retrouver dans vos propres pages, cher George; et merci pour les clins d'œil. Mais je suis actuellement en voyage, coupé de toute connexion régulière (ce qui a du bon, de temps en temps); je ne pourrai donc reprendre ces e-bavardages que dans une quinzaine de jours. J'espère que vous n'en profiterez pas pour escamoter le blogue à nouveau… Soignez bien votre inflammation (j'espère que ça n'est pas un phlegmon dantesque, comme dirait Alexandre Dumas), lisez ou relisez, et buvez ou rebuvez.
RépondreSupprimerIl s'en est fallu de peu, pour le compte, de montrer kystes aux intéressés…
RépondreSupprimerMerci pour vos conseils, et au plaisir de reprendre une conversation décousue — sans doute un peu plus tard, puisque je m'absenterai quant à moi la première quinzaine d'août, sans doute.
Bonnes pérégrinations, dérives et déambulations !