Quand la guerre sociale est imminente, on se fournit en munitions. On met tous ses fers au feu, et pas que les fers à béton. On laisse pas tomber. On fait flèche de tout bois, on boit pas que de l'eau.
Nous n'avons pas peur.
Nous lirons jusqu'à la mort.
Nous lirons jusqu'à la mort.
Nous harcèlerons librairies, bouquinistes et bibliothèques pour fourbir nos armes. On s'aventurera même sur le Ouaibe (ouais, ben quoi ?), pour les plus assis des rimbaldiens d'entre nous. Les bouquinistes, surtout : les seuls chez qui l'on pouvait trouver ne serait-ce que l'Esquisse d'une morale sans obligation ni sanction de Jean-Marie Guyau (1854-1888) jusqu'à ce que ces putains d'éditions Allia aient eu la récente idée de ressusciter ce texte indispensable, désentravé, auquel qui pourrait entraver que pouic ?
Certaines armes nous délivrent, certains livres nous désarment.
Bon, d'accord, c'est juste que je viens de découvrir "photobucket.com". Il n'y a évidemment pas que les livres, pour vivre.
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