Les viticulteurs de Chablis ne se soucient guère de produire du vinaigre blanc pour éloigner de leurs vignes les pyrales car…
À Chardonnay on ne regarde pas les chenilles
(Rien à voir avec ces pervers nostalgiques de vieilles réclames qui réclament au bistroquet de la liqueur de gentiane noyée au vin blanc du Cher : « Une Suze que si long Sancerre ! »)
Et l'honorable Maison Sanchez ne produisait-elle pas la Suze-cassis ?
RépondreSupprimerHem ! là j'avoue ne pas piger : la Maison sans chaise ne produisait de la Suze qu'assise ?
SupprimerUn, deux, trois… allez, je compte Suze-cassis en attendant que vous éclairiez ma lanterne !
Les états-majors ne comptabilisent pas tous les morts. Pour préparer les réponses aux familles de conscrits, les officiers de Philippeville s'interrogeaient : – Il est où le gars ? Et tant pis, con !
RépondreSupprimerSi ces conscrits décédés étaient considérés par les officiers comme des bleubites, ils finissaient dans un cercueil : « P'tit con ? Bière ! »
Supprimer... où il apparaissait alors aussi raide que l'un des célèbres militaires de la fameuse "armée de terre cuite" vantée par le régime maoïste : l'agent Xia'an.
Supprimer… armée qui selon Debord était un grossier faux tout aussi fictif que le mystérieux organisme dont relevait James Bond (la mémoire de Ian Fleming était tellement défaillante qu'il oubliait fréquemment quelle était cette institution, au point que ses proches devaient sans cesse le lui rappeler : "L'agence, Ian !")
SupprimerOui. J'en avèze eu connaissance. Cela s'était suze.
SupprimerL'armée de terre cuite chinoise n'était-elle pas un avatar de cette oeuvre d'art reproductible à aura idéologique que l'on connait aujourd'hui ? Walter Benjamin en avait, semble-t-il, connaissance de la supercherie, si l'on en croit certains de ses carnets inédits. Ce qui expliquerait l'insulte proférée à son endroit par Alain Badiou, célèbre maoïste fanatique, en 1962 : "Jto nique, Walter!"
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