tag:blogger.com,1999:blog-2451894836055043532.post3404363344473532690..comments2024-03-17T00:10:10.285+01:00Comments on <br>L'Ex, homme-âne-yack: « Pas tout à fait une perte mince » (Veinstein, again and again and again…)George WF Weaverhttp://www.blogger.com/profile/08142923950064293275noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-2451894836055043532.post-38472899645886366652014-08-14T02:15:03.835+02:002014-08-14T02:15:03.835+02:00Vous lui donnez trop de pouvoir, ce que je voulais...Vous lui donnez trop de pouvoir, ce que je voulais dire.Viederlandnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2451894836055043532.post-52577063474169312222014-08-13T11:34:47.407+02:002014-08-13T11:34:47.407+02:00Diable, le "on" que vous tentez de cerne...Diable, le "on" que vous tentez de cerner n'écrit pas sur les blogs. Je ne suis sorti de ma tanière qu'en réaction à l'affaire Veinstein. Si vous laissez le "spectacle " vous hanter, vous lui faîtes trop d'honneur.<br /><br />Certes, c'est un concept obsédant, mais les données du problème ont peut être un peu changé depuis les années 70 ? Je ne sais pas. Je pense justement à autre chose ...Viederlandnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2451894836055043532.post-39217037743655735932014-08-11T00:35:14.370+02:002014-08-11T00:35:14.370+02:00De l'utilité d'Internet comme régulateur s...De l'utilité d'Internet comme régulateur social : "A vrai dire, j'écris avec trop de peine pour céder à la tentation d'écrire sur les blogs - si honorables soient-ils." <br />Eh oui, et pour autant on écrit (et plutôt long que court) sur des blogs. <br />Que ne faut-il faire pour se sentir exister dans la société du spectacle !Frednoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2451894836055043532.post-68530722065052300782014-08-10T00:55:15.113+02:002014-08-10T00:55:15.113+02:00Note, après un café au soleil
J'ai pas mal hé...Note, après un café au soleil<br /><br />J'ai pas mal hésité mais au retour du "café pédés", remontant la rue Flandres-Dunkerque, j'ai finalement fait une photo, toujours de l'argentique, fin de pellicule sur le F3. Bien qu'il s'agisse d'une redite, au long sortir de mon univers, peut-être une belle redite, car elles ne le sont pas toujours, j'y ai pris bien du plaisir, le plaisir de la lumière et de la composition, comme d'autres ont pu parler du plaisir du texte. Mais ce à quoi j'ai pensé sur le moment, c'est moins le résultat comme image que la beauté du geste, la beauté du corps juché sur une matière impossible et dans une position impossible sauf pour un gymnaste ou pour les arts du cirque et tout ça pour une image d'une pureté formelle, d'un équilibre et d'un classicisme presque insolents. En somme, je voyais l'image très classique, dans sa majesté classique et sa lumière imparable, sa matière toute parée de fluides inattendus, et je me voyais du dehors, je me voyais de haut - surtout avec cette belle chemise, qui ne compte pour rien dans l'histoire ... et je pensais que si jamais un jour je surprenais un corps à ce point travaillé par un but formel, avec les racines cachées qu'une telle position suppose, je me jetterais à ses pieds.<br /><br />Note sur la note : je l'ai décrit comme classique mais la photo est même d'une banalité fort dangereuse. L'occasion de préciser que pour un grand artiste (et ce n'est justement jamais le cas pour tous les autres) non seulement il n'y a pas de "mauvais sujets" mais celui-ci ne craint pas plus d'embrasser les "clichés" que de s'aventurer dans les audaces formelles les plus impénétrables ou les plus compliquées - l'abstraction l'emportant presque toujours sur la figuration, le style sur le propos, le climat sur l'endroit. Il sait aussi qu'il aura de toutes façons le bénéfice de la paix comme celui des grands espaces, puisque l'une et l'autre directions resteront pour un bon moment lettre scellée aux yeux d'une époque sourde à toute œuvre qui ne la flatte d'une façon ou d'une autre, ne serait-ce qu'en la critiquant de plein fouet ou lui faisant diversion avec un pas de côté - et un seul.<br /><br />Note sur la note de note : ma compagne ayant ses mots à elle, c'est elle qui a lancé, alors que nous hésitions sur la direction à prendre - allez, on va au "café pédés" - éludant le déterminant. Aimant aussi les bizarreries je l'ai reproduit tel-quel, dans une note qui est d'ailleurs un fragment de lettre. Viederlandnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2451894836055043532.post-88638303576174071972014-08-10T00:40:01.765+02:002014-08-10T00:40:01.765+02:00Cher Fred. Nous travaillons chaque jour, avec des ...Cher Fred. Nous travaillons chaque jour, avec des moyens relativement puissants, à invalider les hypocrisies, les vanités du spectacle. Il ferait beau voir que malgré cela nous en soyons les dupes.<br /><br />Il faudrait là un long poème disant comment nous lui envoyons des messages vides et des codes propices à une certaine déprogrammation, mais je n'en trouve pas la force. A vrai dire, j'écris avec trop de peine pour céder à la tentation d'écrire sur les blogs - si honorables soient-ils. Viederlandnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2451894836055043532.post-42035616174955959922014-08-08T00:14:57.294+02:002014-08-08T00:14:57.294+02:00«Nous étions assurés de ces rendez-vous chaque jou...«Nous étions assurés de ces rendez-vous chaque jour que dieu fait», voilà qui exprime assez le deuil de Viederland l'inconsolé. <br />Veinstein est réellement mort, assassiné en direct. Les «centaines d'auteurs, écrivains, essayistes, chercheurs, poètes, artistes, critiques» lui survivront (ou pas), tout comme ses auditeurs. Il n'y a pas qu'au "royaume de la radio" qu'il y a quelque chose de pourri. <br />Quant à considérer qu'«on s'arrange comme on peut dans un monde où le trop fameux "spectacle" gagne chaque jour un peu plus du terrain. Naturellement : pour le bonheur de tous», il faut corriger : le spectacle ne gagne pas chaque jour du terrain ; il est l'essence même de cette société, pour le malheur de tous, y compris Veinstein et Viederland. <br />A bas le spectacle !<br />Frednoreply@blogger.com